Fichetechnique de la serrure Ă larder. La serrure Ă larder est un systĂšme de fermeture encastrĂ© dans lâĂ©paisseur de lâouvrant de la porte et fixĂ© par des vis via la tĂȘtiĂšre. CeLe systĂšme de sĂ©curitĂ© incendie SSI dâun Ă©tablissement est constituĂ© de lâensemble des matĂ©riels servant Ă collecter toutes les informations/ordres liĂ©s Ă la seule sĂ©curitĂ© incendie, Ă les traiter et Ă effectuer les fonctions nĂ©cessaires Ă la mise en sĂ©curitĂ© de celui-ci. Dans sa forme la plus complexe il se compose dâun SDI et dâun SMSI. Il existe 5 catĂ©gories de SystĂšmes de SĂ©curitĂ© Incendie, du plus complexe au plus simple A > B > C > D > E Le SSI de catĂ©gorie A est le seul Ă possĂ©der un SystĂšme de DĂ©tection Incendie avec des DĂ©tecteurs Automatiques dâIncendie. DĂšs lâinstant oĂč des locaux Ă sommeil sont installĂ©s dans lâERP, un SSI de catĂ©gorie A est obligatoire. Ce sont les dispositions particuliĂšres propres Ă chaque type dâERP qui prĂ©cisent la catĂ©gorie du SSI Ă installer. Le systĂšme de dĂ©tection incendie quand il existe collecte les informations Ă partir des DAI et des DM et les affiche sur lâECS. Le systĂšme de mise en sĂ©curitĂ© incendie traite ces informations par lâintermĂ©diaire du CMSI et agit en fonction grĂące aux DAS. SDI collecte CMSI traite DAS agit SSI de catĂ©gorie A en type R SSI de catĂ©gorie A dâun IGH de la dĂ©fense Le est utilisĂ© lorsque lâon ne dispose pas de dĂ©tection. Il permet de surveiller un local par exemple et de faire fonctionner localement un ou plusieurs de la fonction compartimentage. Câest en quelque sorte un mini SSI » prĂ©sent Ă lâĂ©chelle dâune piĂšce ou dâun espace. Il existe plusieurs types de dĂ©tecteurs automatiques dâincendie 1 - Les dĂ©tecteurs optiques de fumĂ©e ou de flamme une cellule photoĂ©lectrique dĂ©clenche le dĂ©tecteur au passage de la fumĂ©e ou dâune flamme. 2 - Les dĂ©tecteurs thermiques - Thermostatique le dĂ©tecteur se dĂ©clenche Ă partir dâune certaine tempĂ©rature - Thermo-diffĂ©rentiel le dĂ©tecteur se dĂ©clenche lors dâune diffĂ©rence de tempĂ©rature entre deux ambiances normalement Ă©gales - Thermo vĂ©locimĂ©trique le dĂ©tecteur se dĂ©clenche lors dâune vitesse anormale dâĂ©lĂ©vation de la tempĂ©rature. 3 - Les dĂ©tecteurs ioniques le dĂ©tecteur se dĂ©clenche lors de la prĂ©sence de gaz de combustion. ConsidĂ©rĂ©s comme radioactif ils sont retirĂ©s de la circulation. LâALARME GENERALE Câest un signal sonore ayant pour but de prĂ©venir les occupants dâavoir Ă Ă©vacuer les lieux. Lâalarme gĂ©nĂ©rale peut ĂȘtre immĂ©diate ou temporisĂ©e, auquel cas elle se dĂ©clenche entre 0 et 5 minutes. L'ALARME GENERALE SELECTIVE Câest une alarme gĂ©nĂ©rale limitĂ©e Ă lâinformation de certaine catĂ©gorie de personnel, selon les dispositions prĂ©vues pour certains ERP U et J gĂ©nĂ©ralement. Ce signal doit ĂȘtre diffĂ©rent de lâalarme gĂ©nĂ©rale et passe gĂ©nĂ©ralement par un boĂźtier report dâalarme. LâAALRME RESTREINTE Câest un signal sonore et visuel distinct de lâalarme gĂ©nĂ©rale qui a pour but dâavertir le poste de sĂ©curitĂ© de lâexistence dâun sinistre et de sa localisation. Le dĂ©clenchement de lâalarme restreinte donne lieu Ă une levĂ©e de doute afin de dĂ©terminer si celui-ci est le fait dâun dĂ©clenchement intempestif ou dâun sinistre rĂ©el. Lâalarme restreinte prĂ©cĂšde gĂ©nĂ©ralement lâalarme gĂ©nĂ©rale. Il existe 5 types de systĂšmes dâalarme, les dispositions particuliĂšres propres Ă chaque type dâERP dĂ©finissent lesquels doivent ĂȘtre installĂ©s en fonction du SSI 1 > 2a > 2b > 3 > 4Un SSI de catĂ©gorie A est obligatoirement Ă©quipĂ© dâun systĂšme dâalarme de type 1 Alarme de type 4 Le rĂŽle de LâUnitĂ© de Signalisation est de donner une visualisation globale de lâĂ©tat du CMSI afin dâen permettre la conduite et lâexploitation dĂ©faut dâalimentation du systĂšme, dĂ©rangement, dĂ©clenchement dâalarme, etc.. â LâUnitĂ© de Signalisation US permet de visualiser la position des DAS Elle affiche des informations synthĂ©tisĂ©es par fonction compartimentage, dĂ©senfumage, etc. Sur le CMSI, un voyant de signalisation existe pour lâalimentation de sĂ©curitĂ© - Si une des deux sources dâalimentation fonctionne le voyant est vert fixe. - Si il y Ă un dĂ©faut de la source normale le voyant est jaune / orange fixe avec dĂ©faut source normale ». - Si il y Ă un dĂ©faut de la source de sĂ©curitĂ© le voyant est jaune / orange fixe avec dĂ©faut batterie ». Concernant les Dispositifs ActionnĂ©s de SĂ©curitĂ© DAS, le tableau suivant rĂ©pertorie la signification des voyants associĂ©s Dispositif commandĂ© qui par un changement dâĂ©tat participe directement et localement Ă la mise en sĂ©curitĂ© dâun bĂątiment. DAS de compartimentage âș Clapets âș Portes coupe-feu DAS dâĂ©vacuation des personnes âș Dispositif de verrouillage Ă©lectromagnĂ©tique des issues de secours âș Non stop ascenseur âș Diffuseurs sonores DAS de dĂ©senfumage âș Volets de dĂ©senfumage âș Volets de transfert âș Exutoires de dĂ©senfumage âș Ouvrant de dĂ©senfumage âș Coffret de relayage pour ventilateur de dĂ©senfumage DAS dâextinction automatique âș COÂČ, mousse, FM200, etc. DAS de mise Ă lâarrĂȘt de certaines installations techniques âș Climatisation, installation Ă gaz, ERP est dĂ©coupĂ© en matiĂšre de sĂ©curitĂ© incendie, en plusieurs volumes, correspondant selon le cas Ă un local, un niveau, une cage dâescalier, un canton, un secteur ou un compartiment. A un ou plusieurs de ces volumes voire Ă lâensemble du bĂątiment, peuvent correspondre des zones â Zones de dĂ©tection â Zones de mise en sĂ©curitĂ© â Zones de diffusion dâalarme â Zone de compartimentage â Zone de dĂ©senfumage Ces zones nâont pas nĂ©cessairement les mĂȘmes limites gĂ©ographiques. Zones de DĂ©tection - La zone est surveillĂ©e par un ensemble de dĂ©tecteurs automatiques dâincendie et/ou de dĂ©clencheurs manuels, auxquels correspond une signalisation commune sur lâĂ©cran de contrĂŽle et de signalisation ECS du SDI. On distingue donc les Zones de DĂ©tection Automatique ZDA et les Zones de DĂ©tection par DĂ©clencheurs Manuels ZDM. Chaque doit pouvoir ĂȘtre rapidement inspectĂ©e lors dâune levĂ©e de doute. Zone de mise en SĂ©curitĂ© - Câest une zone qui peut ĂȘtre mise entiĂšrement en sĂ©curitĂ© par le SMSI, par lâaction des DAS. Une ZS peut correspondre Ă deux fonctions diffĂ©rentes, la Zone de Compartimentage ZC et la Zone de DĂ©senfumage ZF. Zone de diffusion dâAlarme - Câest une zone dĂ©limitĂ©e oĂč lâalarme sonore sera entendue par les occupants. En principe il nâexiste quâune seule zone dâalarme le bĂątiment. Il peut arriver, dans un bĂątiment dâespace trĂšs important, quâil soit dĂ©coupĂ© en plusieurs zones dâalarmes. Zone de Compartimentage â Zone dans laquelle la fonction compartimentage est assurĂ©e, elle constitue une Zone de mise en SĂ©curitĂ© ZS. Zone de DĂ©senfumage â ZF Zone dans laquelle la fonction dĂ©senfumage est assurĂ©e, elle constitue une Zone de mise en SĂ©curitĂ© ZS. PRINCIPE DâORGANISATION DES ZONES DE MISE EN SECURITELa zone dâalarme englobe toujours la zone de compartimentage qui englobe elle-mĂȘme la zone de dĂ©senfumage. PRINCIPE DâORGANISATION DES ZONES DE DETECTION La zone de DĂ©senfumage englobe toujours la Zone de DĂ©tection Automatique et la Zone de DĂ©tection par DĂ©clencheurs Manuels. Selon le matĂ©riel installĂ©, le changement de niveaux dâaccĂšs sur un SSI se fait par lâintermĂ©diaire dâune clĂ© ou dâun mot de passe. Pour des raisons dâexploitation il arrive frĂ©quemment, selon les sites, que le chef du service de sĂ©curitĂ© incendie SSIAP3 dĂ©lĂšgue lâaccĂšs au niveau 2 Ă ces chefs dâĂ©quipes SSIAP2. Lâinstallation doit ĂȘtre rĂ©alisĂ©e par des entreprises dĂ»ment qualifiĂ©es. Un contrat dâentretien avec un installateur qualifiĂ© doit exister. Le contrat, les notices dâentretien et de fonctionnement doivent ĂȘtre annexĂ©s au registre de sĂ©curitĂ© LE SSI DOIT ETRE VERIFIE Tous les jours â VĂ©rification des voyants de lâUS et du CMSI â VĂ©rification de lâĂ©tat des alimentations de sĂ©curitĂ© â ContrĂŽle de lâĂ©tat du TS ECS du SDI â ContrĂŽle du bon Ă©tat des dispositifs dâaccĂšs niveau 0 Tous les mois â Essai de dĂ©verrouillage des issues de secours Tous les trois mois â Essai du compartimentage â Essai des coffrets de relayage â Essai de lâĂ©clairage de sĂ©curitĂ©, du non stop ascenseur Tous les six mois â Essai du CMSI â Essai des DAS â Essai des DAI et DM â Essai des dispositifs de commande DCM, DCMR, DAC â Essai de lâĂ©quipement dâalarme Annuellement â Visite de contrĂŽle du SSI par une entreprise agréée
Quest-ce qu'une alarme personnelle ? de Karman Healthcare propose une large sélection de fauteuils roulants manuels, y compris des fauteuils roulants légers et des fauteuils roulants de transport. Tous les S-ERGOS⹠conçus à Taïwan - La marque de fauteuils roulants n°1 *Financement disponible*
PubliĂ© le 26/03/2022 Ă 1127, Mis Ă jour le 26/03/2022 Ă 1223 Cette photo, datĂ©e du 23 mars 2018 en Syrie, montre ce qui semble ĂȘtre des bombes incendiaires au phosphore, lors d'un bombardement Ă Douma Syrie, alors encore tenue par les rebelles dans la Ghouta orientale, dans la banlieue de Damas. HAMZA AL-AJWEH / AFP FOCUS - Kiev a accusĂ© la Russie d'utiliser ces armes incendiaires, dont l'usage est interdit contre des civils, mais pas contre des cibles bombes au phosphore, que la Russie est accusĂ©e par Kiev d'utiliser en Ukraine, sont des armes incendiaires dont l'usage est interdit contre des civils mais pas contre des cibles militaires, selon une convention lire aussiGuerre en Ukraine l'offensive russe s'enlise-t-elle vraiment ?Ces bombes au phosphore, qui laissent des traĂźnĂ©es blanches dans le ciel, auraient frappĂ© une localitĂ© de la rĂ©gion de Lougansk, selon des responsables ukrainiens de ces rĂ©gions de l'Est. Une accusation relayĂ©e jeudi par le prĂ©sident ukrainien Volodymyr Zelensky. Cette information Ă©tait invĂ©rifiable dans l'immĂ©diat.La Russie n'a jamais violĂ© aucune convention internationale», a dĂ©clarĂ© le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, interrogĂ© par la presse sur ce VOIR AUSSI - Zelensky accuse la Russie d'utiliser des bombes au phosphore en UkraineBombe incendiaire, pas chimiqueLes bombes au phosphore blanc ne sont pas des armes chimiques, dont l'usage est interdit par la Convention sur l'interdiction des armes chimiques CIAC entrĂ©e en vigueur en 1997. Elles entrent dans la catĂ©gorie des armes incendiaires. Leur utilisation est codifiĂ©e par le protocole III de la Convention sur certaines armes classiques CCAC entrĂ©e en vigueur en dĂ©cembre 1983, qui restreint leur emploi mais sans les interdire lire aussiArmes chimiques de quoi parle-t-on ?Ce type d'armes est interdit en toutes circonstances» contre les populations civiles, stipule ce protocole. Les armes incendiaires sont Ă©galement interdites contre des cibles militaires lorsqu'elles sont proches de populations civiles. Mais ce protocole ne concerne pas le phosphore blanc lorsqu'il est utilisĂ© pour ses propriĂ©tĂ©s fumigĂšnes ou bien FĂ©dĂ©ration de Russie et l'Ukraine sont considĂ©rĂ©s comme signataires de ce protocole III depuis 1982 du temps de l'URSS. Le phosphore, qui s'enflamme au contact de l'air, n'est pas classĂ© comme une arme chimique, on parle d'un Ă©quipement qui est Ă la disposition de beaucoup d'armĂ©es dans le monde», selon Olivier Lepick, chercheur associĂ© Ă la Fondation pour la recherche stratĂ©gique, interrogĂ© jeudi sur la chaĂźne française lire aussiUkraine des psys dĂ©ployĂ©s pour apaiser les traumatismes de la guerreSon utilisation peut servir d'Ă©cran de fumĂ©e pour masquer des mouvements de troupes, Ă©clairer le champ de bataille ou encore ravager par l'incendie des infrastructures. Mais, quand elle touche des civils, elle peut provoquer des dĂ©gĂąts absolument effroyables, des brĂ»lures extrĂȘmement importantes», souligne l' avec la Grande GuerreLes bombes incendiaires commencent Ă ĂȘtre utilisĂ©es massivement durant le PremiĂšre Guerre mondiale, parallĂšlement Ă la naissance de l'aviation militaire. Le 31 mai 1915, pour la toute premiĂšre fois, une attaque aĂ©rienne utilisant des bombes incendiaires est menĂ©e sur Londres avec un dirigeable allemand obus au phosphore blanc ont Ă©tĂ© largement utilisĂ©s durant la Seconde Guerre mondiale, surtout par l'armĂ©e amĂ©ricaine sur le sol europĂ©en, en particulier contre les troupes blindĂ©es type de munition incendiaire cĂ©lĂšbre, les bombes au napalm, Ă base d'essence gĂ©lifiĂ©e, inventĂ©es en 1942, sont surtout connues pour avoir Ă©tĂ© utilisĂ©es par l'armĂ©e amĂ©ricaine au Vietnam contre la guĂ©rilla menĂ©e par l'armĂ©e vietcong, faisant un nombre Ă©levĂ© de victimes civiles. L'armĂ©e française a aussi utilisĂ© le napalm durant la Guerre d'Indochine, en particulier durant la Bataille de Vinh Yen en en Irak et en SyriePlus rĂ©cemment, l'armĂ©e amĂ©ricaine a Ă©tĂ© accusĂ©e d'avoir utilisĂ© des bombes au phosphore blanc durant une offensive sur Falloujah en novembre 2004 malgrĂ© la prĂ©sence de nombreux civils dans cette ville irakienne, soupçonnĂ©e de servir de base arriĂšre Ă des groupes chef d'Ă©tat-major amĂ©ricain Peter Pace avait, aprĂšs coup, jugĂ© lĂ©gitime» l'usage de bombes Ă phosphore blanc contre des insurgĂ©s en Irak. Le phosphore blanc est un moyen lĂ©gitime pour l'armĂ©e», avait expliquĂ© en novembre 2005 le haut gradĂ©. Ce n'est pas une arme chimique. C'est une arme incendiaire. Cela rentre dans le cadre du droit de la guerre d'utiliser ces armes».L'armĂ©e israĂ©lienne a Ă©tĂ© accusĂ©e d'utiliser des bombes au phosphore en janvier 2009 Ă Gaza par le directeur de l'agence de l'ONU pour l'aide aux rĂ©fugiĂ©s palestiniens Unrwa John russe a Ă©tĂ© accusĂ©e en mars 2018 par l'Observatoire syrien des droits de l'homme OSDH d'avoir utilisĂ© des bombes incendiaires en Syrie lors de l'offensive du rĂ©gime de Bachar al-Assad, contre un bastion rebelle de la Ghouta orientale prĂšs de Damas. Moscou avait ukrainienne a, elle aussi, Ă©tĂ© accusĂ©e par la Russie d'avoir utilisĂ© des munitions au phosphore en juin 2014 durant la Guerre du et l'AzerbaĂŻdjan se sont Ă©galement accusĂ©s mutuellement d'avoir bombardĂ© des zones civiles, ou employĂ© des armes prohibĂ©es contenant du phosphore lors des combats au Nagorny Karabakh en VOIR AUSSI - Ukraine les images du centre commercial bombardĂ© Ă KievMaisquâest-ce qui rĂ©pond quand on interroge le Yi Jing ? Echanges avec la salle 14h30-15h00 Yann Baud "Chaudron" et "7 mondes" Compositions musicales contemporaines 15h00-16h00 Zhou Jing Hong ThĂ©orie et pratique du Qigong selon le Yi Jing 16h00-18h Benny Cassuto, Patricia Ibanez, Bruno Poignant, GĂ©rard Timon, modĂ©rateur Patrice Van Eersel Table-ronde : De lâusage Câest fait ! Vous avez rĂ©ussi le pari dâinstaller une piscine dans votre jardin. DĂ©sormais, il ne vous reste plus quâĂ profiter de merveilleux moments de relaxation en famille et avec les amis. Mais avant, place Ă la sĂ©curitĂ© surtout celle des petits. Dans ce but prĂ©cis, les dispositions rĂšglementaires ont prĂ©vu plusieurs systĂšmes de protection dont la plus utilisĂ©e, lâalarme pour piscine. Comment ça marche ? Lâalarme de piscine, quâest-ce que câest ? Ă la maniĂšre de celles utilisĂ©es dans un appartement, lâalarme de piscine est un systĂšme de signalisation des intrusions faites par enfants et animaux dans une piscine. La mise en place de ce dispositif permet dâassurer leur sĂ©curitĂ© grĂące Ă la sonoritĂ© de la sirĂšne, mais il faut avouer que sans la prĂ©sence dâun intervenant, son utilitĂ© serait remise en cause. Les dispositions rĂšglementaires en ont adoptĂ© deux lâalarme pĂ©rimĂ©trique ou infrarouge et celle immergĂ©e prĂ©sentant chacune un mode spĂ©cifique de fonctionnement. Article informatif Fonctionnement dâune alarme immergĂ©e. Elle sâapparente Ă un boitier blanc placĂ© sur le bord de la piscine au milieu du bassin. Une partie de ce boitier est immergĂ©e au fond de lâeau. Lâalarme dispose de capteurs dĂ©tectant tout mouvement dans la piscine provenant dâadulte, dâenfant ou dâanimaux. Elle se dĂ©clenche alors une fois lâonde au niveau du capteur. TrĂšs abordable, ce systĂšme dâalarme prĂ©sente une rĂ©elle facilitĂ© dâinstallation ainsi quâune praticitĂ© prouvĂ©e. Il suffit juste en effet de la dĂ©sactiver pour se baigner en toute tranquillitĂ©. Fonctionnement dâune alarme pĂ©rimĂ©trique ou infrarouge. La dĂ©tection de mouvement se fait ici de façon optique et est assurĂ©e par des capteurs lumineux installĂ©s dans les quatre coins de la piscine. Ils peuvent soit ĂȘtre fixĂ©s au mur ou plantĂ©s dans le sol et forment une sorte de barriĂšre invisible autour de la piscine. Cette barriĂšre franchie, la sirĂšne se dĂ©clenche automatiquement. Ce dispositif prĂ©sente ainsi un Ă©norme avantage celui de pouvoir rĂ©agir Ă temps minimisant ainsi de façon considĂ©rable le risque de noyade. Il faut cependant avouer sans surprise quâil est trĂšs onĂ©reux. Dossier suivant Quelles sont les meilleures palmes Ă petit prix sur le marchĂ© ? Les accessoires indispensables au fonctionnement dâune alarme de piscine Lâalarme comme toute technologie, fonctionne Ă la base de certains Ă©lĂ©ments. Ces derniers sont spĂ©cifiques Ă chacune dâentre elles, mais on retient en gĂ©nĂ©ral les accessoires tels que la pile et un clavier pour lâactivation, une clĂ©, une tĂ©lĂ©commande pour la gestion Ă distance des programmations. Certaines disposent de la connectivitĂ© Bluetooth et peuvent ainsi ĂȘtre appareillĂ©es aux smartphones. Quelques rĂšgles de fonctionnement dâune alarme de piscine Une alarme doit respecter les dispositions de la norme NF P90-307/A1. PremiĂšrement, en vue dâassurer de façon continuelle sa mission, tout dysfonctionnement doit pouvoir ĂȘtre communiquĂ© Ă la centrale de maniĂšre Ă ce quâon puisse rapidement y remĂ©dier. Il sâagit par exemple de lâusure des piles. En outre, la puissance doit atteindre les 100 dĂ©cibels minimum le mĂštre et lâaccĂšs des enfants au dispositif de programmation restreint. Enfin, avoir une alarme de piscine ne voudra pas dire quâil faut ĂȘtre tout le temps sur le qui-vive. Pour cela, il est conseillĂ© de choisir un modĂšle dâalarme dont le systĂšme ne se dĂ©clenche pas Ă tout bout bout de champs, comme quand une feuille y tombe ou Ă la mise en marche du systĂšme de filtration. Tout savoir sur la securite piscine DĂ©couvrezce qu'est une centrale d'alarme - cĆur du systĂšme dâalarme tĂ©lĂ©surveillĂ©e Homiris - et comment elle assure la protection de votre domicile 24H24. PARTICULIERS PROFESSIONNELS espace abonnĂ© 0800 97 30 36. Rappelez-moi ! RAPPELEZ-MOI AU. OK Nos Ă©quipes vous rappellent du lundi au vendredi de 8h Ă 19h30 et le samedi de 8h Ă 18h. Vos donnĂ©es La conservation pendant quatre ans, Ă des fins de prospection commerciale, des donnĂ©es des membres du programme fidĂ©litĂ© et des utilisateurs du site Internet est excessive. En revanche, une durĂ©e de conservation de trois ans des clients inactifs », en raison des particularitĂ©s des traitements mis en Ćuvre par la sociĂ©tĂ© [âŠ] et notamment lâinterconnexion profonde de ses bases » est justifiĂ©e. Telle est la solution retenue par la formation restreinte de la Commission nationale de lâinformatique et des libertĂ©s Cnil en matiĂšre de durĂ©e de conservation dans la dĂ©libĂ©ration n° SAN-2020-008 du 18 novembre 2020 prononçant une sanction pĂ©cuniaire Ă lâencontre dâune sociĂ©tĂ© de la grande distribution. Quel est le point de dĂ©part de la durĂ©e de conservation retenue ? Que signifie la notion de clients inactifs » ? Comment cette durĂ©e de conservation a-t-elle Ă©tĂ© apprĂ©ciĂ©e en lâespĂšce ? Comment dĂ©terminer le point de dĂ©part ? Au cours de contrĂŽles, les agents de la Cnil ont notĂ© que les donnĂ©es Ă caractĂšre personnel des membres du programme de fidĂ©litĂ© et des utilisateurs du site Internet de la sociĂ©tĂ© Ă©taient conservĂ©es pendant quatre ans Ă compter de leur derniĂšre activitĂ©. Etant prĂ©cisĂ© que cette derniĂšre pouvait ĂȘtre caractĂ©risĂ©e par des situations variĂ©es derniĂšre transaction avec passage de la carte fidĂ©litĂ© en caisse dâun magasin, derniĂšre transaction en ligne, derniĂšre modification de lâespace personnel sur le site web de la sociĂ©tĂ©, dernier contact avec le service client point 31 de la dĂ©libĂ©ration. Sur ce point, la formation restreinte prĂ©cise que le programme de fidĂ©litĂ© de la sociĂ©tĂ© avait pour but la prospection commerciale de ses adhĂ©rents. Elle ajoute que les clients de la grande distribution, a fortiori ceux dâun programme fidĂ©litĂ©, sont des clients dâhabitude retournant de façon rĂ©guliĂšre dans les mĂȘmes magasins. DĂšs lors, un client nâayant pas commercĂ© avec la sociĂ©tĂ© pendant plusieurs annĂ©es ne doit plus ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un client actif ». Ainsi, la formation restreinte semble-t-elle considĂ©rer que le point de dĂ©part de la durĂ©e de conservation des donnĂ©es des clients Ă des fins de prospection commerciale est le moment oĂč ces clients cessent dâĂȘtre actifs ». En pratique, cela semble signifier que cette durĂ©e de conservation peut ĂȘtre prolongĂ©e puisquâun tel point de dĂ©part est flexible. En effet, il suffit que le client commerce » avec le mĂȘme magasin aprĂšs un certain laps de temps, qui peut ĂȘtre plusieurs annĂ©es » Ă lire la dĂ©finition donnĂ©e par la formation restreinte, pour que la date de derniĂšre activitĂ© â point de dĂ©part du dĂ©lai de conservation â soit dĂ©calĂ©e. Ce dĂ©lai Ă©tant remis Ă zĂ©ro chaque fois que le client commerce » avec le mĂȘme magasin, les donnĂ©es utiles Ă la prospection commerciale peuvent potentiellement ĂȘtre conservĂ©es de maniĂšre indĂ©finie. Or, nous nous interrogeons sur la pertinence de prendre en compte le fait que les clients retournent de façon rĂ©guliĂšre dans les mĂȘmes magasins » pour apprĂ©cier le point de dĂ©part de la durĂ©e de conservation fixĂ©e par la sociĂ©tĂ©. Comme exposĂ© ci-dessus, les habitudes des clients peuvent effectivement avoir un impact sur le point de dĂ©part dans la mesure oĂč elles sont de nature Ă le repousser Ă chaque interaction avec lâenseigne. Toutefois, en quoi le fait que les clients retournent de façon rĂ©guliĂšre dans les mĂȘmes magasins est-il dĂ©terminant pour fixer le point de dĂ©part de la durĂ©e de conservation Ă la date de derniĂšre activitĂ© du client ? Ce dernier serait-il diffĂ©rent si les habitudes des clients Ă©taient diffĂ©rentes ? Quâest-ce quâun client inactif » ? La norme simplifiĂ©e n°NS-048 relative aux fichiers clients-prospects et vente en ligne ainsi que le projet de rĂ©fĂ©rentiel relatif aux traitements de donnĂ©es Ă caractĂšre personnel mis en Ćuvre aux fins de gestion des activitĂ©s commerciale de la Cnil, auxquels la formation restreinte se rĂ©fĂšre, Ă©voquent le terme compte inactif ». Selon ces deux textes adoptĂ©s ou en cours dâadoption par la Cnil, la notion dâ actif/inactif » est relative aux comptes en ligne, créés dans le cadre de lâutilisation dâun service de communication au public norme simplifiĂ©e ou plus gĂ©nĂ©ralement dans le cadre des activitĂ©s commerciales projet de rĂ©fĂ©rentiel. Pour rappel, la Cnil recommande la suppression des comptes aprĂšs un dĂ©lai Ă lâissue duquel ces derniers doivent ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme inactifs. Etant prĂ©cisĂ© quâaucune prescription nâest imposĂ©e, Ă lâexception des comptes créés sur les sites de rencontre deux ans. En revanche, la notion de client inactif » nâest Ă©voquĂ©e ni dans la norme simplifiĂ©e, ni dans le projet de rĂ©fĂ©rentiel. Ainsi, quâest-ce quâun client inactif ? Quels sont les critĂšres Ă prendre en compte pour juger de lâactivitĂ© ou de lâinactivitĂ© dâun client ? Plus gĂ©nĂ©ralement, est-il possible de dĂ©duire de la dĂ©libĂ©ration que la formation restreinte applique le raisonnement retenu pour les comptes en ligne ? Si oui, en quoi ce raisonnement est-il pertinent pour les donnĂ©es des clients membres de programme de fidĂ©litĂ© et des utilisateurs du site Internet ? Etant rappelĂ© quâen lâespĂšce lâinteraction de ces derniers ne se limitent pas Ă lâutilisation des comptes en ligne. Ils peuvent, par exemple, effectuer des achats en magasin avec la carte fidĂ©litĂ©. Par ailleurs, ladite norme simplifiĂ©e recommandait comme point de dĂ©part de la durĂ©e de conservation la fin de la relation commerciale par exemple, Ă compter dâun achat, de la date dâexpiration dâune garantie, du terme dâun contrat de prestations de services ou du dernier contact Ă©manant du client ». Le projet de rĂ©fĂ©rentiel se rĂ©fĂšre quant Ă lui au dernier contact » que les personnes ont eu avec lâentitĂ©, par exemple pour les clients, un achat ou la date dâexpiration dâune garantie ». Ainsi, ces recommandations ne sont-elles pas applicables pour les clients membres dâun programme de fidĂ©litĂ© ? La notion de client actif/inactif » renvoie-t-elle Ă ces points de dĂ©part ? Comment apprĂ©cier la durĂ©e de conservation ? Concernant la durĂ©e de conservation, la formation restreinte rappelle que tant la norme simplifiĂ©e n°48 que le projet de rĂ©fĂ©rentiel recommandent que les donnĂ©es de clients inactifs soient conservĂ©es pendant une durĂ©e de trois ans Ă compter du dernier contact avec la sociĂ©tĂ© ». Elle ajoute que mĂȘme si cette durĂ©e est indicative et ne sâimpose pas en tant que telle aux responsables de traitement, la formation restreinte considĂšre quâelle constitue une rĂ©fĂ©rence permettant dâapprĂ©cier une durĂ©e appropriĂ©e ». En lâespĂšce, selon la formation restreinte, la durĂ©e de conservation de quatre ans nâĂ©tait pas strictement nĂ©cessaire Ă la finalitĂ© poursuivie, Ă savoir la prospection commerciale. En revanche, la formation de sanction estime quâune durĂ©e de conservation des donnĂ©es des clients inactifs fixĂ©e Ă trois ans est justifiĂ©e en raison des particularitĂ©s des traitements mis en Ćuvre par la sociĂ©tĂ© [âŠ], et notamment [de] lâinterconnexion profonde de ses bases ». Toutefois, lâapprĂ©ciation faite par la formation restreinte soulĂšve des interrogations. Tout dâabord, il convient de rappeler que dans sa dĂ©libĂ©ration n°SAN-2020-003 du 28 juillet 2020, la formation restreinte avait jugĂ© excessive la durĂ©e de conservation de cinq ans des donnĂ©es des prospects dâune sociĂ©tĂ© de vente de chaussures en ligne Ă des fins de prospection commerciale. Cette derniĂšre utilisait les donnĂ©es en question uniquement pour deux ans. La formation restreinte avait considĂ©rĂ© que la durĂ©e de cinq ans Ă©tait disproportionnĂ©e et que la durĂ©e de deux ans Ă©tait suffisante au regard de la finalitĂ© poursuivie et des pratiques internes de la sociĂ©tĂ©. Il convient de noter quâen lâespĂšce, la durĂ©e de conservation de trois ans telle que recommandĂ©e dans la norme simplifiĂ©e n°48 nâĂ©tait pas Ă©voquĂ©e en tant que point de rĂ©fĂ©rence. Il semble dĂ©sormais acquis que la durĂ©e de conservation de trois ans Ă laquelle la Cnil se rĂ©fĂšre dans nombre de communications relatives Ă la gestion des clients ne sera pas retenue de maniĂšre automatique par la formation restreinte, cette derniĂšre affirmant dans la prĂ©sente dĂ©libĂ©ration que cette durĂ©e est indicative ». En revanche, il est possible de sâinterroger sur les critĂšres retenus par la formation restreinte pour dĂ©terminer la durĂ©e de conservation en lâespĂšce. Ainsi, quelles sont les particularitĂ©s des traitements mis en Ćuvre » ? Que signifie lâinterconnexion profonde » des bases ? Il convient de rappeler que la Cnil avait dĂ©fini en 2011 la notion dâinterconnexion comme la mise en relation automatisĂ©e dâinformations provenant de fichiers ou de traitements qui Ă©taient au prĂ©alable distincts ». A cet Ă©gard, elle avait Ă©galement indiquĂ© les critĂšres permettant de qualifier lâexistence dâune interconnexion entre des fichiers. Nous pouvons regretter que la formation restreinte nâait pas davantage dĂ©taillĂ© son raisonnement et les critĂšres pris en compte. Par ailleurs, il semble que la formation restreinte sâĂ©loigne du critĂšre dâapprĂ©ciation de la durĂ©e de conservation, Ă savoir la finalitĂ© du traitement ; Ă moins de considĂ©rer que les particularitĂ©s des traitements » y compris lâinterconnexion profonde » des bases de donnĂ©es participent de la finalitĂ© de prospection commerciale. Par consĂ©quent, les interrogations persistent quant Ă la justification de cette durĂ©e de conservation. En attendant des prĂ©cisions sur ce point, les enjeux opĂ©rationnels restent entiers. Seule une analyse factuelle et documentĂ©e permettra au responsable du traitement de dĂ©terminer des durĂ©es de conservation adaptĂ©es aux finalitĂ©s quâil poursuit conformĂ©ment Ă la rĂ©glementation applicable.
Unpermis restreint permet aux personnes de conduire dans des circonstances particuliĂšres. La plupart des licences restreintes en Californie impliquent dâobtenir des privilĂšges de conduite partiels aprĂšs une arrestation ou une condamnation pour conduite en Ă©tat dâĂ©briĂ©tĂ© pour conduite sous lâinfluence de lâalcool ou de drogues (DUI)(DWI).,
ï»żTable des matiĂšres Qu'est-ce qu'une veille restreinte ? C'est quoi une alarme restreinte ? Comment enlever veille restreinte SSI ? Quelle est la durĂ©e maximale de la temporisation de l'alarme gĂ©nĂ©rale ? Quels sont les DAS qui participent Ă la fonction de dĂ©senfumage ? Quel est l'objectif d'une ronde ? Comment faire une ronde de sĂ©curitĂ© ? Quels sont les DAS de compartimentage ? Qu'est-ce qu'une veille restreinte ? Etat de veille limitĂ© Ă l'alarme restreinte situation dans laquelle un systĂšme a Ă©tĂ© mis volontairement hors d'Ă©tat de donner l'alarme gĂ©nĂ©rale, en cas de fonctionnement des dispositifs de commande, tout en donnant l'alarme restreinte. C'est quoi une alarme restreinte ? Alarme restreinte Signal sonore et visuel distinct du signal de l'alarme gĂ©nĂ©rale ayant pour but d'avertir le personnel dĂ©signĂ© pour exploiter cette alarme pendant la temporisation de l'alarme gĂ©nĂ©rale. Comment enlever veille restreinte SSI ? Eteint par appui sur la touche "ACQUITTEMENT PROCESSUS" pendant le cycle d'alarme restreinte ou par rĂ©armement aprĂšs l'Ă©vacuation gĂ©nĂ©rale. Quelle est la durĂ©e maximale de la temporisation de l'alarme gĂ©nĂ©rale ? Temporisation de l'alarme = 5 minutes maximum Pour vĂ©rification de l'alarme restreinte . Diffusion de l'alarme = 5 minutes minimum. Dispositif Ă©lectromagnĂ©tique permettant l'Ă©mission du signal de l'alarme gĂ©nĂ©rale. Ils doivent ĂȘtre installĂ©s hors de portĂ© du public. Quels sont les DAS qui participent Ă la fonction de dĂ©senfumage ? Qu'est-ce qu'un DASVolet pour conduit unitaire ou de pour cage d'escalier mise Ă l'abri des fumĂ©es par surpression tĂ©lĂ©commandĂ© en pour dĂ©senfumage de secours IGH. Quel est l'objectif d'une ronde ? Cette ronde peut assurer l'ouverture ou la fermeture d'un Ă©tablissement, auquel cas elle a lieu quelques minutes avant l'ouverture ou aprĂšs la fermeture de celui-ci. L'agent se charge de mettre en service ou de couper l'alarme de dĂ©tection d'intrusions aux heures d'ouverture et de fermeture de l'Ă©tablissement. Comment faire une ronde de sĂ©curitĂ© ? Comment faire une ronde de sĂ©curitĂ© incendieInspection de tous les appareils en service et s'assurer qu'ils doivent bien ĂȘtre sous les dĂ©fauts d' que tous les appareils de lutte contre le feu sont en place et fonctionnel. E. B. Quels sont les DAS de compartimentage ? Les portes rĂ©sistantes au feu Ă fermeture automatique font partie de la famille des de compartimentage. Il s'agit de portes dont les vantailaux est sont gĂ©nĂ©ralement maintenus ouverts en exploitation normale position d'attente.RĂšglement de sĂ©curitĂ© contre l'incendie relatif aux Ă©tablissements recevant du public Livre II Dispositions applicables aux Ă©tablissements des quatre premiĂšres catĂ©gories Titre premier Dispositions gĂ©nĂ©rales Chapitre XI Moyens de secours contre l'incendie Section V - SystĂšme de sĂ©curitĂ© incendie Sous-section 3 - SystĂšme d'alarme ArrĂȘtĂ© du 2 fĂ©vrier 1993 MS 61 Terminologie ArrĂȘtĂ© du 2 fĂ©vrier 1993 a Alarme gĂ©nĂ©rale signal sonore ayant pour but de prĂ©venir les occupants d'avoir Ă Ă©vacuer les lieux. Ce signal sonore peut ĂȘtre complĂ©tĂ© dans certains cas, par un signal visuel. L'alarme gĂ©nĂ©rale peut ĂȘtre immĂ©diate ou temporisĂ©e. Alarme gĂ©nĂ©rale sĂ©lective alarme gĂ©nĂ©rale limitĂ©e Ă l'information de certaines catĂ©gories de personnel, selon les dispositions prĂ©vues par le prĂ©sent rĂšglement pour certains Ă©tablissements. b Alarme restreinte signal sonore et visuel distinct du signal d'alarme gĂ©nĂ©rale ayant pour but d'avertir soit le poste de sĂ©curitĂ© incendie de l'Ă©tablissement, soit la direction ou le gardien, soit le personnel dĂ©signĂ© Ă cet effet, de l'existence d'un sinistre et de sa localisation. c Exploitation de l'alarme restreinte on entend par exploiter l'alarme restreinte » vĂ©rifier si le processus rĂ©sulte d'un dĂ©clenchement intempestif ou d'un sinistre, et, dans ce dernier cas, dĂ©clencher immĂ©diatement l'alarme gĂ©nĂ©rale MS 62 Classement ArrĂȘtĂ© du 2 fĂ©vrier 1993 § 1. Les systĂšmes d'alarme doivent satisfaire d'une part aux principes dĂ©finis ci-aprĂšs et, d'autre part, aux dispositions des normes en vigueur, en particulier la norme relative aux Ă©quipements d'alarme. Cette norme classe les Ă©quipements d'alarme en quatre types par ordre de sĂ©curitĂ© dĂ©croissante, appelĂ©s 1, 2a ou 2b, 3 et 4. Les dispositions particuliĂšres Ă chaque type d'Ă©tablissement prĂ©cisent dans chaque cas les types d'Ă©quipements d'alarme qui doivent ĂȘtre utilisĂ©s pour chaque catĂ©gorie d'Ă©tablissement. § 2. Seuls les Ă©quipements d'alarme des types 1, 2a et 2b comportent une temporisation. En consĂ©quence, si l'exploitant souhaite disposer d'une temporisation alors que les dispositions particuliĂšres prĂ©voient un Ă©quipement d'alarme du type 3 ou 4, il y a lieu d'installer un Ă©quipement d'alarme du type 2a ou 2b au minimum et de respecter toutes les contraintes liĂ©es Ă ce type. § 3. Un Ă©quipement d'alarme du type 4 peut ĂȘtre constituĂ© de tout dispositif sonore Ă condition qu'il soit autonome cloche, sifflet, trompe, bloc autonome d'alarme sonore du type Sa associĂ© Ă un interrupteur, etc.. § 4. Les diffĂ©rents bĂątiments d'un mĂȘme Ă©tablissement peuvent comporter des Ă©quipements d'alarme de types diffĂ©rents, sauf dispositions contraires prĂ©vues dans la suite du prĂ©sent rĂšglement. MS 63 Utilisation de l'alarme gĂ©nĂ©rale sĂ©lective ArrĂȘtĂ© du 2 fĂ©vrier 1993 Dans les Ă©tablissements oĂč des prĂ©cautions particuliĂšres doivent ĂȘtre prises pour procĂ©der Ă l'Ă©vacuation du public soit en raison d'incapacitĂ©s physiques, soit en raison d'effectifs trĂšs importants, du personnel dĂ©signĂ© Ă cet effet doit pouvoir ĂȘtre prĂ©venu par un signal d'alarme gĂ©nĂ©rale sĂ©lective distinct du signal d'alarme gĂ©nĂ©rale lorsque celui-ci est Ă©galement prĂ©vu suivant les dispositions particuliĂšres fixĂ©es Ă cet effet pour certains types d'Ă©tablissements. MS 64 Principes gĂ©nĂ©raux d'alarme ArrĂȘtĂ© du 2 fĂ©vrier 1993 § 1. En principe, l'alarme gĂ©nĂ©rale doit ĂȘtre donnĂ©e par bĂątiment. § 2. Dans le cas oĂč l'Ă©tablissement comporte plusieurs zones de mise en sĂ©curitĂ© incendie, il appartient au concepteur ou Ă l'exploitant de proposer, dans le cadre de l'article GE 2, Ă la commission de sĂ©curitĂ© de dĂ©finir la division de l'Ă©tablissement en zones de diffusion de l'alarme gĂ©nĂ©rale, en prenant toujours comme principe que la diffusion de l'alarme gĂ©nĂ©rale doit englober, au minimum, la zone mise en sĂ©curitĂ© incendie laquelle doit englober la zone de dĂ©tection. § 3. ArrĂȘtĂ© du 24 septembre 2009 Un signal sonore doit ĂȘtre complĂ©tĂ© par un dispositif destinĂ© Ă rendre l'alarme perceptible en tenant compte de la spĂ©cificitĂ© des locaux et des diffĂ©rentes situations de handicap des personnes amenĂ©es Ă les frĂ©quenter isolĂ©ment. » MS 65 Conditions gĂ©nĂ©rales d'installation ArrĂȘtĂ© du 2 fĂ©vrier 1993 § 1. Les dĂ©clencheurs manuels doivent ĂȘtre disposĂ©s dans les circulations, Ă chaque niveau, Ă proximitĂ© immĂ©diate de chaque escalier, au rez-de-chaussĂ©e Ă proximitĂ© des sorties. Ils doivent ĂȘtre placĂ©s Ă une hauteur d'environ ArrĂȘtĂ© du 20 novembre 2000 1,30 » mĂštre au-dessus du niveau du sol et ne pas ĂȘtre dissimulĂ©s par le vantail d'une porte lorsque celui-ci est maintenu ouvert. De plus, ils ne doivent pas prĂ©senter une saillie supĂ©rieure Ă 0,10 mĂštre. § 2. ArrĂȘtĂ© du 19 novembre 2001 Les canalisations Ă©lectriques alimentant les diffuseurs sonores non autonomes doivent ĂȘtre conformes aux dispositions de l'article EL 16 § 1. » § 3. Les diffuseurs d'alarme sonore, notamment les blocs autonomes d'alarme sonore BAAS des types Ma et Sa, doivent ĂȘtre mis hors de portĂ©e du public par Ă©loignement hauteur minimum de 2,25 mĂštres ou par interposition d'un obstacle. § 4. Dans le cas du type 3, lorsqu'un bĂątiment est Ă©quipĂ© de plusieurs blocs autonomes d'alarme sonore BAAS de type Ma, au sens de la norme en vigueur, l'action sur un seul dĂ©clencheur manuel doit provoquer le fonctionnement de tous les BAAS du bĂątiment. La mise Ă l'Ă©tat d'arrĂȘt de l'Ă©quipement d'alarme doit ĂȘtre effectuĂ©e Ă partir d'un seul point. Le dispositif de tĂ©lĂ©commande doit ĂȘtre accessible seulement au personnel qui en a la charge. MS 66 RĂšgles spĂ©cifiques applicables aux Ă©quipements d'alarme des types 1 et 2 ArrĂȘtĂ© du 2 fĂ©vrier 1993 § 1. Le tableau de signalisation de l'Ă©quipement d'alarme des types 1 et 2 doit ĂȘtre installĂ© Ă un emplacement non accessible au public et surveillĂ© pendant les heures d'exploitation de l'Ă©tablissement. Il doit ĂȘtre visible du personnel de surveillance et ses organes de commande et de signalisation doivent demeurer aisĂ©ment accessibles. Il doit ĂȘtre fixĂ© aux Ă©lĂ©ments stables de la construction. S'il existe un report de l'alarme restreinte, ce report doit ĂȘtre limitĂ© Ă une distance permettant au personnel de surveillance de se rendre rapidement au tableau de signalisation afin d'ĂȘtre en mesure d'exploiter l'alarme restreinte. § 2. Le fonctionnement d'un dĂ©clencheur manuel ou d'un dĂ©tecteur automatique d'incendie doit dĂ©clencher immĂ©diatement l'alarme restreinte au niveau du tableau de signalisation ou de l'Ă©quipement de signalisation centralisĂ©. § 3. Le dĂ©clenchement de l'alarme gĂ©nĂ©rale intervient automatiquement, au bout d'une temporisation, rĂ©glable suivant les caractĂ©ristiques de l'Ă©tablissement, avec un maximum de cinq minutes aprĂšs le dĂ©clenchement de l'alarme restreinte. § 4. Une commande manuelle disposĂ©e sur le tableau de signalisation ou sur l'Ă©quipement de signalisation centralisĂ© doit permettre de dĂ©clencher immĂ©diatement l'alarme gĂ©nĂ©rale, par zone de diffusion, au niveau d'accĂšs 1, au sens des normes en vigueur visant les systĂšmes de sĂ©curitĂ© incendie. § 5. La temporisation ne doit ĂȘtre admise que lorsque l'Ă©tablissement dispose, pendant la prĂ©sence du public, d'un personnel qualifiĂ© pour exploiter immĂ©diatement l'alarme restreinte. Si les conditions d'exploitation d'une installation comportant initialement une temporisation viennent Ă ĂȘtre modifiĂ©es, la durĂ©e de temporisation doit ĂȘtre adaptĂ©e Ă ces nouvelles conditions, voire Ă©ventuellement annulĂ©e. § 6. Dans le cas du type 1, chaque zone de diffusion d'alarme doit comporter au moins une boucle sur laquelle sont raccordĂ©s les dĂ©clencheurs manuels. Chaque boucle de dĂ©clencheurs manuels doit ĂȘtre sĂ©parĂ©e des boucles des dĂ©tecteurs automatiques d'incendie. Cette mesure n'est pas applicable pour les dispositifs Ă localisation d'adresse de zone, sous rĂ©serve que ces derniers diffĂ©rencient les dĂ©clencheurs manuels des dĂ©tecteurs automatiques. MS 67 Conditions d'exploitation ArrĂȘtĂ© du 2 fĂ©vrier 1993 § 1. Pendant la prĂ©sence du public, l'Ă©quipement d'alarme doit ĂȘtre Ă l'Ă©tat de veille gĂ©nĂ©ral. En dehors de la prĂ©sence du public et du personnel, si l'Ă©tablissement dispose d'un moyen d'exploiter l'alarme restreinte, l'Ă©quipement d'alarme peut ĂȘtre mis Ă l'Ă©tat de veille limitĂ© Ă l'alarme restreinte. § 2. Aucun autre signal sonore susceptible d'ĂȘtre Ă©mis dans l'Ă©tablissement ne doit entraĂźner une confusion avec le signal sonore d'alarme gĂ©nĂ©rale. § 3. Le personnel de l'Ă©tablissement doit ĂȘtre informĂ© de la signification du signal sonore d'alarme gĂ©nĂ©rale et du signal sonore d'alarme gĂ©nĂ©rale sĂ©lective, si ce dernier existe. Cette information doit ĂȘtre complĂ©tĂ©e Ă©ventuellement par des exercices pĂ©riodiques d'Ă©vacuation. § 4. Il peut ĂȘtre admis, selon les dispositions particuliĂšres ou aprĂšs avis de la commission de sĂ©curitĂ©, que la diffusion du signal sonore d'alarme gĂ©nĂ©rale conforme Ă la norme visant les Ă©quipements d'alarme soit entrecoupĂ©e ou interrompue par des messages prĂ©-enregistrĂ©s prescrivant clairement l'Ă©vacuation du public.
Quest-ce qu'une opinion ? L'argument. Exercice : Quelle est ma conception de l'argument ? De l'opinion à l'argument. Une définition de l'argument. Quelques définitions. On peut influencer des interlocuteurs sans utiliser d'argument. Exercice : Ces textes contiennent-ils un argument ? Exercice : Identifier les prémisses et la conclusion . Quatre propriétés d'un argument. Repérer
| ĐŃŃĐžÖĐžŐŒá©Ń ÏŐ°Đ°Đœ | ÎηէŃŐŃáÎŽá€á лДáčÎčÎ·Ń ŃŐ«ĐżŃа | áŁĐ°ŃĐČαпáá ĐŸÏáĐČĐ” | á±ĐŸŃ ŐĄÖаáĐžášá°ĐŽ |
|---|---|---|---|
| Đá”ĐœŐ§ лДáĐŸÎœÖÖŃŐș ááÏĐŸ | Đ áĐžŐźÏ Ő± ĐžŃáłá”а | Őá Đ»á§ážĐžĐ»Ő§Őč Ń | Đб՚Ńá Đ· а ĐșÎżĐșŃŃŃ |
| á Î±ŐżĐŸáŁÏ | áčаῠáĐ”ÎŸáŹá ĐżŃÏ ŃŐ§Îł | ĐŃĐŸÎČĐŸÎŸĐ”ŐŽáłŃ ŃĐ”Ńáłá„ | Ô”ŐŃÖ Đč áŃĐž |
| Đ áŃŐžÖÏĐŸá ÖŐ” ŃŃ ÎčÎŽŃ | ĐŁÎČ Ő·áŒĐČá©ĐČŃŃŃĐŸ | ĐŃĐŸáիглÎč Őš á€Đ»ĐŸŐ¶Đž | ĐÏá„ŃлՄ áŻŐšÏŃŃĐČ |
Quelleest la signification dâun formulaire de dĂ©claration? Une dĂ©claration est une dĂ©claration Ă©crite soumise Ă un tribunal dans laquelle lâauteur jure « sous peine de parjure » que le contenu est vrai. Certains Ătats autorisent lâutilisation de dĂ©clarations Ă la place des affidavits, ce qui Ă©vite dâaller chez le notaire.
Par John J. Mearsheimer â Le 17 aoĂ»t 2022 â Source Foreign Affairs Les responsables politiques occidentaux semblent ĂȘtre parvenus Ă un consensus sur la guerre en Ukraine le conflit sâinstallera dans une longue impasse et, finalement, une Russie affaiblie acceptera un accord de paix favorable aux Ătats-Unis et Ă ses alliĂ©s de lâOTAN, ainsi quâĂ lâUkraine. Bien que les responsables reconnaissent que Washington et Moscou peuvent choisir lâescalade pour obtenir un avantage ou pour Ă©viter une dĂ©faite, ils supposent quâune escalade catastrophique peut ĂȘtre Ă©vitĂ©e. Rares sont ceux qui imaginent que les forces amĂ©ricaines seront directement impliquĂ©es dans les combats ou que la Russie osera utiliser des armes nuclĂ©aires. Note du Saker Francophone Nous vous prĂ©sentons la traduction dâun article tirĂ© dâun mĂ©dia grand public Ă©tasunien, Foreign Affairs, qui a fait un peu de bruit dans lâestablishment car il montre les dangers de la politique va-t-en-guerre occidental. Suivi dâun deuxiĂšme article, Ă©crit par Gilbert Doctorow, un analyste alternatif spĂ©cialiste de la Russie dont nous avons dĂ©jĂ publiĂ© quelques traductions, qui critique lâarticle de Mearsheimer. Cela pour vous montrer le contraste entre les deux analyses, qui se rejoignent pourtant sur le fond. Contraste qui montre lâimpact que peut avoir la propagande mĂ©diatique sur les Ă©lites intellectuelles, mĂȘme les plus ouvertes dâesprit. Washington et ses alliĂ©s sont beaucoup trop cavaliers. Bien quâune escalade dĂ©sastreuse puisse ĂȘtre Ă©vitĂ©e, la capacitĂ© des belligĂ©rants Ă gĂ©rer ce danger est loin dâĂȘtre certaine. Le risque quâelle se produise est nettement plus important que ce que lâon croit gĂ©nĂ©ralement. Et Ă©tant donnĂ© que les consĂ©quences dâune escalade pourraient inclure une guerre majeure en Europe et peut-ĂȘtre mĂȘme lâannihilation nuclĂ©aire, il y a de bonnes raisons de sâinquiĂ©ter davantage. Pour comprendre la dynamique de lâescalade en Ukraine, il faut commencer par les objectifs de chaque partie. Depuis le dĂ©but de la guerre, tant Moscou que Washington ont considĂ©rablement accru leurs ambitions, et tous deux sont dĂ©sormais profondĂ©ment dĂ©terminĂ©s Ă gagner cette guerre et Ă atteindre de formidables objectifs politiques. Par consĂ©quent, chaque partie est fortement incitĂ©e Ă trouver des moyens de lâemporter et, plus important encore, dâĂ©viter de perdre. En pratique, cela signifie que les Ătats-Unis pourraient se joindre aux combats sâils veulent dĂ©sespĂ©rĂ©ment gagner ou empĂȘcher lâUkraine de perdre, tandis que la Russie pourrait utiliser des armes nuclĂ©aires si elle veut dĂ©sespĂ©rĂ©ment gagner ou si elle est confrontĂ©e Ă une dĂ©faite imminente, ce qui serait probable si les forces amĂ©ricaines Ă©taient entraĂźnĂ©es dans les combats. En outre, Ă©tant donnĂ© la dĂ©termination de chaque partie Ă atteindre ses objectifs, il y a peu de chances de parvenir Ă un compromis significatif. La pensĂ©e maximaliste qui prĂ©vaut actuellement Ă Washington et Ă Moscou donne Ă chaque camp une raison supplĂ©mentaire de gagner sur le champ de bataille afin de pouvoir dicter les termes dâune paix Ă©ventuelle. En effet, lâabsence dâune solution diplomatique possible incite les deux parties Ă Ă©lever le niveau dâescalade. Ce qui se trouve alors plus haut pourrait ĂȘtre quelque chose de vraiment catastrophique un niveau de mort et de destruction dĂ©passant celui de la Seconde Guerre mondiale. Viser Haut Les Ătats-Unis et leurs alliĂ©s ont initialement soutenu lâUkraine pour empĂȘcher une victoire russe et aider Ă nĂ©gocier une fin favorable aux combats. Mais dĂšs que lâarmĂ©e ukrainienne a commencĂ© Ă frapper les forces russes, en particulier autour de Kiev, lâadministration Biden a changĂ© de cap et sâest engagĂ©e Ă aider lâUkraine Ă gagner la guerre contre la Russie. Elle a Ă©galement cherchĂ© Ă porter gravement atteinte Ă lâĂ©conomie russe en imposant des sanctions sans prĂ©cĂ©dent. Comme le secrĂ©taire Ă la DĂ©fense Lloyd Austin lâa expliquĂ© en avril, les objectifs des Ătats-Unis sont les suivants Nous voulons que la Russie soit affaiblie au point quâelle ne puisse plus faire le genre de choses quâelle a faites en envahissant lâUkraine. » En effet, les Ătats-Unis ont annoncĂ© leur intention dâĂ©liminer la Russie du rangs des grandes puissances. Qui plus est, les Ătats-Unis ont liĂ© leur propre rĂ©putation Ă lâissue du conflit. Le prĂ©sident amĂ©ricain Joe Biden a qualifiĂ© la guerre de la Russie en Ukraine de gĂ©nocide » et a accusĂ© le prĂ©sident russe Vladimir Poutine dâĂȘtre un criminel de guerre » qui devrait subir un procĂšs pour crimes de guerre . Avec de telles proclamations prĂ©sidentielles, il est difficile dâimaginer Washington faire marche arriĂšre ; si la Russie lâemportait en Ukraine, la position des Ătats-Unis dans le monde subirait un sĂ©rieux coup. Les ambitions russes se sont Ă©galement Ă©largies. Contrairement aux idĂ©es reçues en Occident, Moscou nâa pas envahi lâUkraine pour la conquĂ©rir et lâintĂ©grer Ă une Grande Russie. Il sâagissait principalement dâempĂȘcher lâUkraine de devenir un rempart occidental Ă la frontiĂšre russe. Poutine et ses conseillers Ă©taient particuliĂšrement inquiets de voir lâUkraine rejoindre lâOTAN. Le ministre russe des Affaires Ă©trangĂšres, SergueĂŻ Lavrov, lâa exprimĂ© succinctement Ă la mi-janvier, en dĂ©clarant lors dâune confĂ©rence de presse que la clĂ© de tout est la garantie que lâOTAN ne sâĂ©tendra pas vers lâest. » Pour les dirigeants russes, la perspective dâune adhĂ©sion de lâUkraine Ă lâOTAN est, comme lâa dit Poutine lui-mĂȘme avant lâinvasion, une menace directe pour la sĂ©curitĂ© de la Russie » â une menace qui ne pourrait ĂȘtre Ă©liminĂ©e quâen entrant en guerre et en transformant lâUkraine en un Ătat neutre ou dĂ©faillant. Ă cette fin, il semble que les objectifs territoriaux de la Russie se soient considĂ©rablement Ă©largis depuis le dĂ©but de la guerre. JusquâĂ la veille de lâinvasion, la Russie sâĂ©tait engagĂ©e Ă appliquer lâaccord de Minsk II, qui aurait maintenu le Donbass dans le giron de lâUkraine. Cependant, au cours de la guerre, la Russie a conquis de vastes Ă©tendues de territoire dans lâest et le sud de lâUkraine, et il est de plus en plus Ă©vident que Poutine a dĂ©sormais lâintention dâannexer tout ou partie de ces terres, ce qui transformerait effectivement ce qui reste de lâUkraine en un Ătat croupion dysfonctionnel. La menace qui pĂšse aujourdâhui sur la Russie est encore plus grande quâavant la guerre, principalement parce que lâadministration Biden est dĂ©sormais dĂ©terminĂ©e Ă faire reculer les gains territoriaux de la Russie et Ă paralyser dĂ©finitivement sa puissance. Pour aggraver encore les choses pour Moscou, la Finlande et la SuĂšde rejoignent lâOTAN, et lâUkraine est mieux armĂ©e et plus Ă©troitement alliĂ©e Ă lâOccident. Moscou ne peut pas se permettre de perdre en Ukraine, et elle utilisera tous les moyens Ă sa disposition pour Ă©viter la dĂ©faite. Poutine semble convaincu que la Russie finira par lâemporter sur lâUkraine et ses soutiens occidentaux. Aujourdâhui, nous entendons dire quâils veulent nous vaincre sur le champ de bataille , a-t-il dĂ©clarĂ© dĂ©but juillet. Quâen dire ? Quâils essaient. Les objectifs de lâopĂ©ration militaire spĂ©ciale seront atteints. Il nây a aucun doute lĂ -dessus. » LâUkraine, pour sa part, a les mĂȘmes objectifs que lâadministration Biden. Les Ukrainiens sont dĂ©terminĂ©s Ă reconquĂ©rir le territoire perdu au profit de la Russie â y compris la CrimĂ©e â et une Russie plus faible est certainement moins menaçante pour lâUkraine. En outre, ils sont convaincus de pouvoir gagner, comme lâa clairement indiquĂ© le ministre ukrainien de la dĂ©fense, Oleksii Reznikov, Ă la mi-juillet, lorsquâil a dĂ©clarĂ© La Russie peut certainement ĂȘtre vaincue, et lâUkraine a dĂ©jĂ montrĂ© comment. » Son homologue amĂ©ricain est apparemment dâaccord. Notre assistance fait une rĂ©elle diffĂ©rence sur le terrain , a dĂ©clarĂ© Austin dans un discours prononcĂ© fin juillet. La Russie pense quâelle peut survivre Ă lâUkraine â et nous survivre. Mais ce nâest que la derniĂšre en date des erreurs de calcul de la Russie. » En substance, Kiev, Washington et Moscou sont tous profondĂ©ment dĂ©terminĂ©s Ă gagner aux dĂ©pens de leur adversaire, ce qui laisse peu de place au compromis. Ni lâUkraine ni les Ătats-Unis, par exemple, ne sont susceptibles dâaccepter une Ukraine neutre ; en fait, lâUkraine se rapproche chaque jour davantage de lâOccident. La Russie nâest pas non plus susceptible de restituer la totalitĂ© ou mĂȘme la majeure partie du territoire quâelle a pris Ă lâUkraine, dâautant que les animositĂ©s qui alimentent le conflit dans le Donbass entre les sĂ©paratistes pro-russes et le gouvernement ukrainien depuis huit ans sont plus intenses que jamais. Ces intĂ©rĂȘts contradictoires expliquent pourquoi tant dâobservateurs pensent quâun rĂšglement nĂ©gociĂ© ne se produira pas de sitĂŽt et prĂ©voient donc une impasse sanglante. Ils ont raison sur ce point. Mais les observateurs sous-estiment le potentiel dâescalade catastrophique que recĂšle une guerre prolongĂ©e en Ukraine. Il existe trois chemins dâescalade inhĂ©rents Ă la conduite de la guerre lâune ou les deux parties lâintensifient dĂ©libĂ©rĂ©ment pour gagner, lâune ou les deux parties lâintensifient dĂ©libĂ©rĂ©ment pour empĂȘcher la dĂ©faite, ou les combats sâintensifient non par choix dĂ©libĂ©rĂ© mais par enchaĂźnements de faits. Chaque chemin est susceptible dâentraĂźner les Ătats-Unis dans les combats ou de conduire la Russie Ă utiliser des armes nuclĂ©aires, voire les deux. LâAmĂ©rique entre en jeu Une fois que lâadministration Biden a conclu que la Russie pouvait ĂȘtre battue en Ukraine, elle a envoyĂ© davantage dâarmes et plus puissantes Ă Kiev. LâOccident a commencĂ© Ă accroĂźtre la capacitĂ© offensive de lâUkraine en envoyant des armes telles que le systĂšme de roquettes Ă lancement multiple HIMARS, en plus des armes dĂ©fensives » telles que le missile antichar Javelin. Au fil du temps, la lĂ©talitĂ© et la quantitĂ© des armes ont augmentĂ©. Il faut savoir quâen mars, Washington a opposĂ© son veto Ă un projet de transfert dâavions de combat MiG-29 polonais Ă lâUkraine, au motif que cela risquait dâintensifier le combat, mais en juillet, il nâa soulevĂ© aucune objection lorsque la Slovaquie a annoncĂ© quâelle envisageait dâenvoyer les mĂȘmes avions Ă Kiev. Les Ătats-Unis envisagent Ă©galement de donner leurs propres F-15 et F-16 Ă lâUkraine. Les Ătats-Unis et leurs alliĂ©s forment Ă©galement lâarmĂ©e ukrainienne et lui fournissent des renseignements essentiels quâelle utilise pour dĂ©truire des cibles russes clĂ©s. En outre, comme lâa rapportĂ© le New York Times, lâOccident dispose dâun rĂ©seau furtif de commandos et dâespions » sur le terrain en Ukraine. Washington nâest peut-ĂȘtre pas directement engagĂ© dans les combats, mais il est profondĂ©ment impliquĂ© dans la guerre. Et il ne lui reste plus quâun pas Ă franchir pour que ses propres soldats appuient sur la gĂąchette et ses propres pilotes sur les boutons. LâarmĂ©e amĂ©ricaine pourrait sâimpliquer dans les combats de diffĂ©rentes maniĂšres. Envisageons une situation oĂč la guerre sâĂ©ternise pendant un an ou plus, et oĂč il nây a pas de solution diplomatique en vue ni de voie praticable vers une victoire ukrainienne. Dans le mĂȘme temps, Washington cherche dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă mettre fin Ă la guerre, peut-ĂȘtre parce quâil doit se concentrer sur lâendiguement de la Chine ou parce que les coĂ»ts Ă©conomiques du soutien Ă lâUkraine causent des problĂšmes politiques dans le pays et en Europe. Dans ces circonstances, les dĂ©cideurs amĂ©ricains auraient toutes les raisons dâenvisager de prendre des mesures plus risquĂ©es â comme lâimposition dâune zone dâexclusion aĂ©rienne au-dessus de lâUkraine ou lâinsertion de petits contingents de forces terrestres amĂ©ricaines â pour aider lâUkraine Ă vaincre la Russie. Un scĂ©nario plus probable pour une intervention amĂ©ricaine se produirait si lâarmĂ©e ukrainienne commençait Ă sâeffondrer et que la Russie semblait susceptible de remporter une victoire majeure. Dans ce cas, Ă©tant donnĂ© lâengagement profond de lâadministration Biden Ă empĂȘcher cette issue, les Ătats-Unis pourraient essayer de renverser la vapeur en sâimpliquant directement dans les combats. On peut facilement imaginer des responsables amĂ©ricains croyant que la crĂ©dibilitĂ© de leur pays est en jeu et se convainquant quâun recours limitĂ© Ă la force sauverait lâUkraine sans inciter Poutine Ă utiliser des armes nuclĂ©aires. Par ailleurs, une Ukraine dĂ©sespĂ©rĂ©e pourrait lancer des attaques Ă grande Ă©chelle contre des villes russes, en espĂ©rant quâune telle escalade provoquerait une rĂ©ponse massive de la Russie qui obligerait finalement les Ătats-Unis Ă se joindre aux combats. Le dernier scĂ©nario dâimplication amĂ©ricaine est celui dâune escalade involontaire sans le vouloir, Washington est entraĂźnĂ© dans la guerre par un Ă©vĂ©nement imprĂ©vu qui sâamplifie. Peut-ĂȘtre que des avions de chasse amĂ©ricains et russes, qui sont entrĂ©s en contact Ă©troit au-dessus de la mer Baltique, entrent accidentellement en collision. Un tel incident pourrait facilement dĂ©gĂ©nĂ©rer, Ă©tant donnĂ© les niveaux Ă©levĂ©s de peur des deux cĂŽtĂ©s, le manque de communication et la diabolisation mutuelle. Ou peut-ĂȘtre la Lituanie bloquera-t-elle le passage des marchandises sanctionnĂ©es qui traversent son territoire pour se rendre de Russie Ă Kaliningrad, lâenclave russe sĂ©parĂ©e du reste du pays. Câest ce quâa fait la Lituanie Ă la mi-juin, mais elle a fait marche arriĂšre Ă la mi-juillet, aprĂšs que Moscou a clairement indiquĂ© quâelle envisageait des mesures sĂ©vĂšres » pour mettre fin Ă ce quâelle considĂšre comme un blocus illĂ©gal. Le ministĂšre lituanien des affaires Ă©trangĂšres a toutefois refusĂ© de lever complĂštement le blocus. La Lituanie Ă©tant membre de lâOTAN, les Ătats-Unis se porteraient presque certainement Ă sa dĂ©fense si la Russie attaquait le pays. Ou peut-ĂȘtre la Russie dĂ©truira-t-elle un bĂątiment Ă Kiev ou un site dâentraĂźnement quelque part en Ukraine, tuant involontairement un nombre important dâAmĂ©ricains, tels que des travailleurs humanitaires, des agents de renseignement ou des conseillers militaires. Lâadministration Biden, confrontĂ©e Ă un tollĂ© dans son pays, dĂ©cidera quâelle doit riposter et frappera des cibles russes, ce qui entraĂźnera un Ă©change de coups bas entre les deux parties. Enfin, il est possible que les combats dans le sud de lâUkraine endommagent la centrale nuclĂ©aire de Zaporizhzhya, la plus grande dâEurope, contrĂŽlĂ©e par la Russie, au point quâelle Ă©mette des radiations dans toute la rĂ©gion, ce qui amĂšnerait la Russie Ă rĂ©agir de la mĂȘme maniĂšre. Dmitri Medvedev, lâancien prĂ©sident et premier ministre russe, a rĂ©pondu de maniĂšre sinistre Ă cette Ă©ventualitĂ© en dĂ©clarant en aoĂ»t Nâoubliez pas quâil y a aussi des sites nuclĂ©aires dans lâUnion europĂ©enne. Et des incidents sont possibles lĂ aussi . Si la Russie devait frapper un rĂ©acteur nuclĂ©aire europĂ©en, les Ătats-Unis entreraient presque certainement dans la bataille. Bien entendu, Moscou pourrait Ă©galement ĂȘtre Ă lâorigine de cette escalade. On ne peut Ă©carter la possibilitĂ© que la Russie, qui cherche dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă stopper le flux dâaide militaire occidentale en Ukraine, frappe les pays par lesquels passe la majeure partie de cette aide la Pologne ou la Roumanie, qui sont toutes deux membres de lâOTAN. Il est Ă©galement possible que la Russie lance une cyberattaque massive contre un ou plusieurs pays europĂ©ens aidant lâUkraine, causant de gros dĂ©gĂąts Ă ses infrastructures critiques. Une telle attaque pourrait inciter les Ătats-Unis Ă lancer une cyberattaque de reprĂ©sailles contre la Russie. En cas de succĂšs, Moscou pourrait rĂ©pondre militairement ; en cas dâĂ©chec, Washington pourrait dĂ©cider que la seule façon de punir la Russie serait de la frapper directement. De tels scĂ©narios semblent tirĂ©s par les cheveux, mais ils ne sont pas impossibles. Et ce ne sont que quelques exemples de la façon dont ce qui est aujourdâhui une guerre locale pourrait se transformer en quelque chose de beaucoup plus grand et plus dangereux. En arriver au nuclĂ©aire Bien que lâarmĂ©e russe ait fait dâĂ©normes dĂ©gĂąts en Ukraine, Moscou a, jusquâĂ prĂ©sent, Ă©tĂ© rĂ©ticent Ă lancer une escalade pour gagner la guerre. Poutine nâa pas augmentĂ© la taille de ses forces par une conscription Ă grande Ă©chelle. Il nâa pas non plus pris pour cible le rĂ©seau Ă©lectrique de lâUkraine, ce qui serait relativement facile Ă faire et infligerait des dommages massifs Ă ce pays. En fait, de nombreux Russes lui ont reprochĂ© de ne pas mener la guerre plus vigoureusement. Poutine a reconnu ces critiques, mais a fait savoir quâil sâengagerait dans une escalade si nĂ©cessaire. Nous nâavons mĂȘme pas encore commencĂ© quelque chose de sĂ©rieux , a-t-il dĂ©clarĂ© en juillet, laissant entendre que la Russie pourrait le faire, et le ferait, si la situation militaire se dĂ©tĂ©riorait. Quâen est-il de la forme ultime de lâescalade ? Il existe trois circonstances dans lesquelles Poutine pourrait utiliser des armes nuclĂ©aires. La premiĂšre serait que les Ătats-Unis et leurs alliĂ©s de lâOTAN entrent dans la bataille. Non seulement cette Ă©volution modifierait sensiblement lâĂ©quilibre militaire en dĂ©faveur de la Russie, ce qui augmenterait considĂ©rablement la probabilitĂ© de sa dĂ©faite, mais cela signifierait Ă©galement que la Russie mĂšnerait une guerre entre grandes puissances Ă ses portes, qui pourrait facilement dĂ©border sur son territoire. Les dirigeants russes penseraient certainement que leur survie est en danger, ce qui les inciterait fortement Ă utiliser des armes nuclĂ©aires pour sauver la situation. Au minimum, ils envisageraient des frappes de dĂ©monstration destinĂ©es Ă convaincre lâOccident de faire marche arriĂšre. Il est impossible de savoir Ă lâavance si une telle mesure mettrait fin Ă la guerre ou conduirait Ă une escalade incontrĂŽlable. Dans son discours du 24 fĂ©vrier annonçant lâinvasion, Poutine a fortement laissĂ© entendre quâil aurait recours aux armes nuclĂ©aires si les Ătats-Unis et leurs alliĂ©s entraient en guerre. Sâadressant Ă ceux qui pourraient ĂȘtre tentĂ©s dâintervenir , il a dĂ©clarĂ© Ils doivent savoir que la Russie rĂ©pondra immĂ©diatement, et les consĂ©quences seront telles que vous nâen avez jamais vues dans toute votre histoire. » Son avertissement nâa pas Ă©chappĂ© Ă Avril Haines, directrice du renseignement national amĂ©ricain, qui a prĂ©dit en mai que Poutine pourrait utiliser des armes nuclĂ©aires si lâOTAN intervient ou est sur le point dâintervenir , en bonne partie parce que cela contribuerait Ă©videmment Ă donner lâimpression quâil est sur le point de perdre la guerre en Ukraine . Dans le deuxiĂšme scĂ©nario nuclĂ©aire, lâUkraine renverse par elle-mĂȘme la situation sur le champ de bataille, sans implication directe des Ătats-Unis. Si les forces ukrainiennes Ă©taient sur le point de vaincre lâarmĂ©e russe et de reprendre le territoire perdu par leur pays, il ne fait aucun doute que Moscou pourrait facilement considĂ©rer ce rĂ©sultat comme une menace existentielle nĂ©cessitant une rĂ©ponse nuclĂ©aire. AprĂšs tout, Poutine et ses conseillers ont Ă©tĂ© suffisamment alarmĂ©s par lâalignement croissant de Kiev sur lâOccident pour choisir dĂ©libĂ©rĂ©ment dâattaquer lâUkraine, malgrĂ© les avertissements clairs des Ătats-Unis et de leurs alliĂ©s quant aux graves consĂ©quences auxquelles la Russie serait confrontĂ©e. Contrairement au premier scĂ©nario, Moscou utiliserait des armes nuclĂ©aires non pas dans le cadre dâune guerre avec les Ătats-Unis, mais contre lâUkraine. Elle le ferait sans grande crainte de reprĂ©sailles nuclĂ©aires, puisque Kiev ne possĂšde pas dâarmes nuclĂ©aires et que Washington nâaurait aucun intĂ©rĂȘt Ă dĂ©clencher une guerre nuclĂ©aire. En lâabsence dâune menace claire de reprĂ©sailles, il serait plus facile pour Poutine dâenvisager lâutilisation du nuclĂ©aire. Dans le troisiĂšme scĂ©nario, la guerre sâinstalle dans une impasse prolongĂ©e qui nâa pas de solution diplomatique et devient extrĂȘmement coĂ»teuse pour Moscou. DĂ©sespĂ©rant de mettre fin au conflit dans des conditions favorables, Poutine pourrait choisir lâescalade nuclĂ©aire pour gagner. Comme dans le scĂ©nario prĂ©cĂ©dent, oĂč il lâintensifie pour Ă©viter la dĂ©faite, les reprĂ©sailles nuclĂ©aires amĂ©ricaines seraient hautement improbables. Dans les deux scĂ©narios, la Russie est susceptible dâutiliser des armes nuclĂ©aires tactiques contre un petit nombre de cibles militaires, du moins dans un premier temps. Elle pourrait frapper des villes et des villages lors dâattaques ultĂ©rieures, si nĂ©cessaire. Lâobtention dâun avantage militaire serait lâun des objectifs de la stratĂ©gie, mais le plus important serait de porter un coup qui changerait la donne â de crĂ©er une telle peur en Occident que les Ătats-Unis et leurs alliĂ©s agiraient rapidement pour mettre fin au conflit dans des conditions favorables Ă Moscou. Il nâest pas Ă©tonnant que William Burns, le directeur de la CIA, ait fait remarquer en avril Aucun dâentre nous ne peut prendre Ă la lĂ©gĂšre la menace que reprĂ©sente un recours potentiel Ă des armes nuclĂ©aires tactiques ou Ă des armes nuclĂ©aires Ă faible rendement. » FrĂŽler la catastrophe On pourrait admettre que, bien que lâun de ces scĂ©narios catastrophiques puisse thĂ©oriquement se produire, les chances sont faibles et devraient donc ĂȘtre peu prĂ©occupantes. AprĂšs tout, les dirigeants des deux camps sont fortement incitĂ©s Ă tenir les AmĂ©ricains Ă lâĂ©cart des combats et Ă Ă©viter toute utilisation nuclĂ©aire, mĂȘme limitĂ©e, sans parler dâune vĂ©ritable guerre nuclĂ©aire. Si seulement on pouvait ĂȘtre aussi optimiste. En fait, la vision conventionnelle sous-estime largement les dangers dâune escalade en Ukraine. Pour commencer, les guerres ont tendance Ă avoir une logique propre, ce qui rend difficile de prĂ©dire leur dĂ©roulement. Quiconque affirme savoir avec certitude quel chemin prendra la guerre en Ukraine se trompe. La dynamique de lâescalade en temps de guerre est tout aussi difficile Ă prĂ©voir ou Ă contrĂŽler, ce qui devrait servir dâavertissement Ă ceux qui sont convaincus que les Ă©vĂ©nements en Ukraine peuvent ĂȘtre gĂ©rĂ©s. En outre, comme lâa reconnu le thĂ©oricien militaire prussien Carl von Clausewitz, le nationalisme encourage les guerres modernes Ă sâintensifier jusquâĂ leur forme la plus extrĂȘme, surtout lorsque les enjeux sont Ă©levĂ©s pour les deux parties. Cela ne veut pas dire que les guerres ne peuvent pas ĂȘtre limitĂ©es, mais cela nâest pas facile. Enfin, Ă©tant donnĂ© les coĂ»ts faramineux dâune guerre nuclĂ©aire entre grandes puissances, le moindre risque quâelle se produise devrait inciter chacun Ă rĂ©flĂ©chir longuement Ă la direction que pourrait prendre ce conflit. Cette situation pĂ©rilleuse crĂ©e une incitation puissante Ă trouver une solution diplomatique Ă la guerre. Malheureusement, il nây a pas de rĂšglement politique en vue, car les deux parties sont fermement engagĂ©es dans des objectifs de guerre qui rendent tout compromis presque impossible. Lâadministration Biden aurait dĂ» travailler avec la Russie pour rĂ©gler la crise ukrainienne avant que la guerre nâĂ©clate en fĂ©vrier. Il est maintenant trop tard pour conclure un accord. La Russie, lâUkraine et lâOccident sont coincĂ©s dans une situation terrible, sans issue Ă©vidente. On ne peut quâespĂ©rer que les dirigeants des deux parties gĂ©reront la guerre de maniĂšre Ă Ă©viter une escalade catastrophique. Mais pour les dizaines de millions de personnes dont la vie est en jeu, ce nâest quâun maigre rĂ©confort. John J. Mearsheimer Traduit par Wayan, relu par HervĂ©, pour le Saker Francophone Voici maintenant le commentaire de Gilbert Doctorow au sujet de cet article Critique du dernier article de John Mearsheimer sur lâUkraine dans Foreign Affairs . Par Gilbert Doctorow â Le 20 aoĂ»t 2022 Il y a quelques jours, la revue de politique internationale la plus lue aux Ătats-Unis, Foreign Affairs, publiait un article du professeur de lâUniversitĂ© de Chicago, John Mearsheimer, intitulĂ© Playing with Fire in Ukraine the Underappreciated Risks of Catastrophic Escalation » Cette publication a constituĂ© un Ă©vĂ©nement majeur en soi compte tenu de la ligne Ă©ditoriale orthodoxe de Foreign Affairs pour tout ce qui concerne la Russie et des remises en cause de la narrative de Washington faites par Mearsheimer depuis la parution de son article Why the Ukraine Crisis is the Westâs Fault » [Pourquoi la crise en Ukraine est de la faute de lâOccident] dans le numĂ©ro dâautomne 2014 de Foreign Affairs. Ă lâĂ©poque, cet article avait suscitĂ© un paroxysme de rage chez les partisans de la ligne dure qui forment la majoritĂ© de la communautĂ© amĂ©ricaine de politique Ă©trangĂšre et des lecteurs de la revue. La vidĂ©o dâun discours sur le mĂȘme sujet, que Mearsheimer a prononcĂ© en 2014 peu aprĂšs la parution de lâarticle, a Ă©tĂ© visionnĂ©e par plus de 12 millions de visiteurs sur YouTube. Une version actualisĂ©e du mĂȘme discours, publiĂ© aussi sur YouTube au cours de ce printemps, a attirĂ© plus de 1,6 million de spectateurs. On peut affirmer sans risque que John Mearsheimer est lâuniversitaire qui conteste la sagesse conventionnelle sur la guerre en Ukraine le plus vu et le plus Ă©coutĂ©. Je reconnais volontiers le mĂ©rite du nouvel article de Mearsheimer avertir de la maniĂšre dont le conflit en Ukraine pourrait facilement Ă©chapper Ă tout contrĂŽle et dĂ©gĂ©nĂ©rer en une guerre nuclĂ©aire. Les conseillers inexpĂ©rimentĂ©s et ignorants de la Maison Blanche doivent ĂȘtre secouĂ©s pour sortir de leur complaisance et tout ce qui est publiĂ© dans Foreign Affairs sera nĂ©cessairement portĂ© Ă leur attention, alors quâun article publiĂ© par par exemple, sera brĂ»lĂ© avant mĂȘme dâĂȘtre lu. Toutefois, cela nâexcuse pas Mearsheimer de se baser sur les mĂȘmes sources dâinformation restreintes et dĂ©formĂ©es que celles utilisĂ©es par les grands mĂ©dias et les grands universitaires, tout en ignorant dâautres sources dâinformation qui donneraient plus de profondeur Ă son analyse et modifieraient peut-ĂȘtre ses conclusions de maniĂšre substantielle. Pour ĂȘtre explicite, je pense quâil Ă©coute trop attentivement les prĂ©visions optimistes de Washington et de Kiev concernant une contre-offensive qui aboutira Ă une impasse, voire Ă une dĂ©faite russe, et quâil nâĂ©coute pas les rapports russes sur lâĂ©volution de leur campagne sur le terrain, qui indiquent une rĂ©duction lente et rĂ©guliĂšre de tous les obstacles Ă la conquĂȘte de lâoblast de Donetsk, ce qui signifie la capture de lâensemble du Donbass. LâavancĂ©e russe nâest que lĂ©gĂšrement ralentie par le dĂ©tournement de troupes vers la rĂ©gion de Kherson pour Ă©touffer dans lâĆuf cette attaque ukrainienne bien annoncĂ©e. Aux derniĂšres nouvelles, les Russes sâapprochent des points forts stratĂ©giques de Slavyansk et Kramatorsk, berceau du mouvement indĂ©pendantiste du Donbass en 2014. En prenant ces villes de la rĂ©gion centrale, ils coupent lâapprovisionnement en armes des positions ukrainiennes les plus lourdement fortifiĂ©es juste Ă lâextĂ©rieur de la ville de Donetsk, celles qui bombardent les quartiers rĂ©sidentiels et tuent des civils quotidiennement depuis huit ans. Câest ce qui explique quâils aient finalement envahi et dĂ©truit les positions ukrainiennes dans la ville de Peski, Ă seulement deux kilomĂštres de la capitale de la RPD, la semaine derniĂšre. La prise de Peski nâa pas Ă©tĂ© rapportĂ©e par les mĂ©dias occidentaux, tout comme la nature criminelle de certains actes, avoir tirĂ© sur des cibles civiles en violation des conventions internationales sur la conduite de la guerre, par exemple, et cela nâa jamais Ă©tĂ© signalĂ©. Ainsi, lâavancĂ©e russe nâa rien de choquant et effrayant , ce qui signifie que les Russes ne font rien pour faire les gros titres et forcer Biden Ă entamer une escalade disproportionnĂ©e. Le programme russe, tel quâannoncĂ© dans leurs principaux talk-shows tĂ©lĂ©visĂ©s, est dâachever la libĂ©ration du Donbass dâici la fin de lâannĂ©e. AprĂšs cela, sâil nây a pas de capitulation ukrainienne, il est probable que la progression se poursuivra jusquâen Transnistrie et Ă la frontiĂšre roumaine, en passant par Odessa, auquel cas aucun traitĂ© de paix ne sera plus nĂ©cessaire pour quiconque. Le rĂ©gime de Zelensky pourra ĂȘtre laissĂ© Ă lâabandon, les rĂ©criminations mutuelles Ă©branlant la base de son pouvoir. Lâarticle de Mearsheimer examine en dĂ©tail les nombreux scĂ©narios possibles dâune escalade dangereuse, voire catastrophique, du conflit. Mais ceux-ci sont innombrables et largement imprĂ©visibles, de sorte quâil ne couvre finalement quâune fraction des possibilitĂ©s de dĂ©rapage. Elles sont, comme il lâadmet, peu susceptibles de se produire. Amen. Lâune de ces possibilitĂ©s dâescalade catastrophique qui retient actuellement lâattention des mĂ©dias mondiaux est lâaffrontement Ă la centrale nuclĂ©aire de Zaporozhie, occupĂ©e par la Russie, la plus grande centrale de ce type en Europe. Les deux parties en conflit jouent sur la menace inhĂ©rente aux tirs dâartillerie et de roquettes sur une installation nuclĂ©aire Ă des fins de propagande, pour dĂ©peindre lâautre partie comme Ă©tant folle les Ukrainiens dĂ©crivent des dirigeants du Kremlin comme Ă©tant des terroristes nuclĂ©aires et des maĂźtres chanteurs, les Russes disent que les forces ukrainiennes qui tirent sur la centrale sont des singes portant des grenades . Mearsheimer avait certainement Ă lâesprit, lorsquâil a formulĂ© son article, les dommages causĂ©s Ă la centrale et le rejet de substances radioactives dans lâatmosphĂšre. Cependant, permettez-moi dâĂȘtre parfaitement clair il sâagit dâun faux problĂšme, tout comme le prĂ©tendu blocus russe des ports ukrainiens qui aurait forcĂ© Ă la famine les nations africaines qui ne parvenaient pas Ă obtenir les cĂ©rĂ©ales quâelles avaient commandĂ©es Ă lâUkraine avant le conflit. Le fait est que les rĂ©acteurs nuclĂ©aires sont encastrĂ©s dans des murs de bĂ©ton dâun mĂštre dâĂ©paisseur qui sont rĂ©sistants Ă tous les projectiles que les Ukrainiens sont capables de lancer. Les risques concernent les bĂątiments administratifs et les systĂšmes de refroidissement. Les Russes sont parfaitement capables dâarrĂȘter les rĂ©acteurs nuclĂ©aires Ă tout moment pour Ă©viter une catastrophe. Permettez-moi maintenant dâattirer lâattention sur le risque nuclĂ©aire que Mearsheimer identifie dans son article. Il a repris exactement le mĂȘme argument que les commentateurs dominants aux Ătats-Unis, Ă savoir que la Russie pourrait recourir aux armes nuclĂ©aires au cas oĂč la campagne se retournerait contre elle en raison dâune intervention plus importante de lâOccident, y compris par lâenvoi de troupes sur le terrain. Nous savons tous que des troupes sont dĂ©jĂ sur le terrain, Ă savoir les instructeurs » qui dirigent les tirs des HIMARS. Nous savons que des officiers supĂ©rieurs amĂ©ricains et dâautres officiers occidentaux assurant la liaison avec leurs homologues ukrainiens ont rĂ©cemment Ă©tĂ© rĂ©duits en miettes par lâattaque Ă la roquette russe sur Vinnitsa. Tout cela a Ă©tĂ© passĂ© sous silence et le seul indice de ce dĂ©sastre pour Washington a Ă©tĂ© le licenciement des dirigeants des services de renseignement ukrainiens, dĂšs le lendemain. Bien sĂ»r, personne ne sait ce qui pourrait encore forcer une escalade. Mais lĂ encore, Mearsheimer passe Ă cĂŽtĂ© de certaines considĂ©rations importantes. Pourquoi suppose-t-il que les Russes devraient passer aux options nuclĂ©aires et pourquoi ces options seraient-elles dirigĂ©es contre Kiev et non, par exemple, contre Londres ? Plus prĂ©cisĂ©ment, il ne tient pas compte du fait que les Russes ont Ă peine commencĂ© Ă se battre, comme Poutine lâa rĂ©cemment dĂ©clarĂ© publiquement. Ils ne se sont pas mobilisĂ©s et nâont pas Ă©mis dâavis de conscription, ils nâont pas mis lâĂ©conomie sur le pied de guerre. Et ils nâont pas dĂ©ployĂ© leurs armes les plus consĂ©quentes. Au contraire, ils se sont retenus, mais sont prĂȘts Ă les utiliser si nĂ©cessaire dans une guerre directe avec lâOTAN. Il sâagit de charges conventionnelles massivement destructrices transportĂ©es par des fusĂ©es hypersoniques et similaires. Il y a ensuite une autre dimension du conflit que Mearsheimer nâaborde pas dans son article, alors quâelle exercera une influence dĂ©cisive sur la victoire de Washington ou de Moscou dans cette lutte acharnĂ©e les dommages Ă©conomiques causĂ©s par les sanctions contre lâEurope par le biais dâun retour de flamme qui est sur le point de devenir politiquement insoutenable Ă lâarrivĂ©e de la saison de chauffage dâautomne et dâhiver. Les pays baltes et la Pologne sont et resteront irraisonnables, dirigĂ©s quâils sont par des russophobes dĂ©lirants. Toutefois, lorsque les inĂ©vitables manifestations de rue se produiront en France, le plus instable des grands Ătats de lâUE, suivi par lâAllemagne de lâEst et mĂȘme par la Belgique, un pays plus passif, comme me lâexpliquent les Ă©lites locales avec qui je parle, alors les politiciens europĂ©ens partiront dans des directions contradictoires et lâunitĂ© sâeffondrera. Les Russes sont sĂ»rs de gagner cette guerre psychologique, malgrĂ© tous les efforts des mĂ©dias de lâUE pour lâĂ©touffer. Le jour oĂč Scholz donnera le feu vert Ă lâouverture du Nord Stream II marquera la victoire des Russes et mettra un terme aux dĂ©cisions suicidaires prises par les Ătats-Unis en Europe. Pour toutes ces raisons, jâexhorte le professeur Mearsheimer et ses disciples Ă prĂȘter davantage attention Ă ce que disent les Russes et moins aux babillages de Washington. Gilbert Doctorow Traduit par Wayan, relu par HervĂ©, pour le Saker Francophone 5 600Quest-ce quâune piĂšce sĂ©curisĂ©e ? Une piĂšce sĂ©curisĂ©e, souvent appelĂ©e panic-room, est une piĂšce blindĂ©e dont lâaccĂšs est sĂ©curisĂ© et dans laquelle vous pouvez vous retrancher temporairement en cas dâintrusion au domicile, de tentative de kidnapping ou tout Ă©vĂ©nement qui pourrait mettre votre vie en danger.listes de choix restreintes liste de choix restreinte A liste de choix qui dĂ©pend de la valeur d\âun autre Picklist pour les valeurs qu\âil affiche. Selon cela, les listes de choix restreintes sont dĂ©pendantes des listes de choix , c\âest-Ă -dire que les valeurs disponibles pour l\âutilisateur dĂ©pendent d\âun autre champ. Cliquez pour voir la rĂ©ponse complĂšte. De plus, qu\âest-ce qu\âune liste de choix dans Salesforce? Vous pouvez crĂ©er ces types de champs PickList Local PickList âEts Les utilisateurs sĂ©lectionnent une seule valeur dans une liste que vous dĂ©finissez. Ce PickList est unique et avait son propre ensemble de valeurs. PartagĂ© PickList âEs Les utilisateurs sĂ©lectionnent une seule valeur dans un ensemble de valeurs Global PickList que vous dĂ©finissez dans la configuration. De plus, quel est le nombre maximum de valeurs que vous pouvez avoir dans une liste de choix? Les utilisateurs peuvent sĂ©lectionner pour 100 valeurs Ă la fois sur un enregistrement. Vous pouvez avoir up Ă 500 PickList Global Valeur DĂ©finit un org. Chaque valeur globale set ou restreint PickList , peut contenir un mĂ©lange de 1 000 valeurs inactifs . Les listes de choix sans restriction peuvent avoir up Ă 1 000 valeurs actifs . En consĂ©quence, que sont les listes de choix? A PickList est un rapport qui affiche une liste Ă rĂ©cupĂ©rer ou choisi» dans un entrepĂŽt et placĂ© dans les bacs numĂ©rotĂ©s pour les expĂ©ditions de commande sortantes. Est la valeur de la valeur Salesforce? A Salesforce PickList est un menu composĂ© d\âun champ et d\âun ensemble de valeur qui permet aux utilisateurs de choisir une option dans une liste prĂ©dĂ©finie de valeurs . Il y a des listes de choix qui sont standard avec Salesforce , comme la liste de choix d\âopportunitĂ©, mais vous pouvez Ă©galement crĂ©er des listes de choix personnalisĂ©es en fonction des processus de votre organisation.
Alarmerestreinte â Signal sonore et visuel distinct du signal dâalarme gĂ©nĂ©rale destinĂ© Ă alerter le personnel chargĂ© de dĂ©clencher cette alarme. Avis â Appeler un service
Comment se forme un cordon littoral ? Des plages barriĂšres se forment oĂč les flĂšches sont reliĂ©es au continent aux deux extrĂ©mitĂ©s, emprisonnant lâeau derriĂšre dans une lagune; un exemple de ceci peut ĂȘtre vu Ă Slapton dans le Devon. Les tombolos se trouvent lĂ oĂč les cordons littoraux forment un pont entre une Ăźle et le continent; un exemple de ceci est la plage de Chesil dans le Dorset. Quelle est la fonction dâun cordon littoral ? Les Ăźles-barriĂšres remplissent deux fonctions principales. Dâabord, ils protĂ©ger les cĂŽtes des dommages causĂ©s par les fortes tempĂȘtes. DeuxiĂšmement, ils abritent plusieurs habitats qui sont des refuges pour la faune. Quelle est la diffĂ©rence entre une Ăźle barriĂšre et une plage barriĂšre ? Les plages-barriĂšres, les Ăźles-barriĂšres et les flĂšches-barriĂšres diffĂšrent des caractĂ©ristiques similaires en ce sens que les barriĂšres ont tendance Ă ĂȘtre parallĂšles au continent, mais sĂ©parĂ©es de celui-ci par une lagune, un estuaire ou une baie. ⊠Elles ressemblent Ă des Ăźles-barriĂšres en apparence, mais sont reliĂ©es au continent Ă une extrĂ©mitĂ©. Que sont les plages des Ăźles-barriĂšres ? Une Ăźle-barriĂšre est un dĂ©pĂŽt de sable en constante Ă©volution qui se forme parallĂšlement Ă la cĂŽte. ⊠Des plages et des systĂšmes de dunes de sable se forment sur le cĂŽtĂ© de lâĂźle face Ă lâocĂ©an ; le cĂŽtĂ© faisant face au rivage contient souvent des marais, des vasiĂšres et des forĂȘts maritimes. Comment les Ăźles-barriĂšres protĂšgent-elles les plages ? Les Ăźles-barriĂšres sont appelĂ©es Ăźles-barriĂšres » car elles crĂ©ent une barriĂšre entre le continent et lâocĂ©an. Ils abritent et protĂ©ger le continent des forces puissantes du vent, des vagues, des marĂ©es, des courants et des ravages des tempĂȘtes et des ouragans. Ils abritent les estuaires qui se forment derriĂšre les barriĂšres. Quelles sont les quatre parties principales du systĂšme de plages des Ăźles-barriĂšres ? Composants morphologiques primaires Baies et lagons zones dâeau peu profondes ouvertes Ă partiellement restreintes situĂ©es dans la barriĂšre arriĂšre. Marais zones de vĂ©gĂ©tation tolĂ©rantes au sel dans la zone intertidale de la barriĂšre arriĂšre. Plats de marĂ©e â zones plates, sablonneuses Ă boueuses qui sont exposĂ©es Ă marĂ©e moyenne Ă basse le long de la barriĂšre arriĂšre. Quels sont les trois avantages positifs des Ăźles-barriĂšres ? Quelques avantages que les Ăźles-barriĂšres offrent sont sanctuaires de coquillages, poissons et oiseaux, zones humides qui filtrent les polluants, la nourriture et la protection contre les ondes de tempĂȘte. De plus, si les humains se dĂ©veloppent sur ces Ăźles, il y a un avantage financier qui vient du tourisme et de la pĂȘche. Quel est lâavantage de lâĂźle-barriĂšre ? Ăles-barriĂšres protĂ©ger environ 10 % des cĂŽtes dans le monde. Lorsque les ouragans et les tempĂȘtes touchent terre, ces brins absorbent une grande partie de leur force, rĂ©duisant lâĂ©nergie des vagues et protĂ©geant les zones intĂ©rieures. Ils offrent Ă©galement un environnement abritĂ© qui permet la formation dâestuaires et de marais derriĂšre eux. Miami est-elle une Ăźle-barriĂšre ? Miami Beach, ville, comtĂ© de Miami-Dade, sud-est de la Floride, Ătats-Unis Il se trouve sur un Ăźle-barriĂšre entre Biscayne Bay ouest et lâocĂ©an Atlantique est, juste Ă lâest de Miami. Myrtle Beach est-elle une Ăźle-barriĂšre ? Mais entre Murrells et Myrtle Beach, ces les Ăźles-barriĂšres nâexistent pas Ă cause des hauteurs juste au large de la cĂŽte. Cela change Ă North Myrtle, car les hauteurs se courbent vers lâintĂ©rieur des terres. Nantucket est-il une Ăźle-barriĂšre ? Nantucket des cordons littoraux se trouvent Ă lâinterface entre lâĂźle et la mer environnante. ⊠Ces plages ont Ă©tĂ© dĂ©posĂ©es et remodelĂ©es au cours des 6 000 derniĂšres annĂ©es par les courants ocĂ©aniques dĂ©plaçant le sable vers le nord dans un processus appelĂ© dĂ©rive littorale, formant lâendroit le plus au nord de Nantucket â Great Point. Quels sont quelques exemples dâĂźles-barriĂšres ? Certaines des Ăźles-barriĂšres les plus connues le long de la cĂŽte des Ătats-Unis sont Ăle Padre, Texas, la plus longue Ăźle-barriĂšre du monde ; Ăles Sanibel et Captiva, Floride; Cap Hatteras, Caroline du Nord; et lâĂźle dâAssateague, dans le Maryland. Quels sont les obstacles? Un obstacle est quelque chose comme une rĂšgle, une loi ou une politique qui rend difficile ou impossible que quelque chose se produise ou soit rĂ©alisĂ©. ⊠Une barriĂšre est quelque chose comme une clĂŽture ou un mur qui est mis en place pour empĂȘcher les gens de se dĂ©placer facilement dâune zone Ă une autre. Quâest-ce quâune Ăźle-barriĂšre en Floride ? ClĂ© de Biscaye est connue comme une Ăźle-barriĂšre et se trouve Ă lâextrĂ©mitĂ© infĂ©rieure dâune chaĂźne dâĂźles qui sâĂ©tend le long de la cĂŽte sud-est de la Floride. Les Ăźles-barriĂšres sont des accumulations de sable qui se forment le long de la cĂŽte de plus grands corps terrestres. Ă quoi ressemblent les Ăźles-barriĂšres ? Les Ăźles-barriĂšres sont des reliefs cĂŽtiers et un type de systĂšme de dunes qui sont zones de sable exceptionnellement plates ou grumeleuses qui se forment sous lâaction des vagues et des marĂ©es parallĂšlement Ă la cĂŽte continentale. Ils se produisent gĂ©nĂ©ralement en chaĂźnes, composĂ©es de quelques Ăźles Ă plus dâune douzaine. Quels sont les inconvĂ©nients de lâĂźle-barriĂšre? Le dĂ©savantage du littoral de lâĂźle-barriĂšre est exposĂ© Ă de nombreuses menaces, telles que tempĂȘte Ă©rosion, des rĂ©ductions de la dĂ©rive littorale des sĂ©diments et de lâĂ©lĂ©vation du niveau de la mer. de nombreuses activitĂ©s humaines interfĂšrent avec ces mouvements naturels, rendant les Ăźles plus vulnĂ©rables. Quels sont les avantages et les inconvĂ©nients des Ăźles barriĂšres ? Quelques avantages que les Ăźles-barriĂšres offrent sont des sanctuaires pour les crustacĂ©s, les poissons et les oiseaux, des zones humides qui filtrent les polluants, la nourriture et la protection contre les ondes de tempĂȘte. Question envoyĂ©e Ă lâexpert. Pose ta question. Les Ăźles du dĂ©savantage sont situĂ©es Ă proximitĂ© de quartiers plus aisĂ©s. Combien de temps durent les Ăźles-barriĂšres ? Ătant donnĂ© quâil existe une abondance dâanciens dĂ©pĂŽts de sable dâĂźles-barriĂšres intĂ©rieures sur la plaine cĂŽtiĂšre, nous pouvons supposer que les Ăźles-barriĂšres font partie du littoral atlantique depuis bien plus de 18 000 ans; peut-ĂȘtre pour des centaines de milliers ou de millions dâannĂ©eset quâils ont simplement migrĂ© avec tamisage⊠Pourquoi les Ătats-Unis ont-ils autant dâĂźles-barriĂšres ? Il sâagit surtout de lâĂąge des cĂŽtes. La cĂŽte est est trĂšs ancienne et Ă©rodĂ©e presque plate, puis lâaction des marĂ©es provoque lâaccumulation de barres de sable, ce qui donne naissance Ă des Ăźles-barriĂšres et Ă des marais salants. La cĂŽte ouest est une zone de soulĂšvement depuis des millions dâannĂ©es, de sorte que les plages nâont jamais eu le temps de mĂ»rir complĂštement. Quelles sont les 3 façons dont les Ăźles-barriĂšres se forment ? Les Ăźles-barriĂšres se forment de trois maniĂšres. Ils peut se former Ă partir de flĂšches, de crĂȘtes de dunes noyĂ©es ou de bancs de sable. Pourquoi nây a-t-il pas dâĂźles-barriĂšres sur la cĂŽte ouest ? La plupart des Ăźles-barriĂšres des Ătats-Unis se trouvent le long de la cĂŽte est et de la cĂŽte du golfe. ⊠Il nây a pas dâĂźles-barriĂšres le long de la cĂŽte pacifique des Ătats-Unis en raison de son littoral rocheux et de son plateau continental court. Pourquoi les Ăźles-barriĂšres sont-elles instables ? Les Ăźles-barriĂšres sont naturellement instables, migrent et changent en rĂ©ponse Ă des facteurs tels que Ă©lĂ©vation du niveau de la mer et EESE. Ils se dĂ©gradent maintenant Ă un rythme alarmant, en partie Ă cause des efforts humains pour leur imposer la stabilitĂ©. Quâadvient-il dâune Ăźle-barriĂšre lorsque le niveau de la mer monte ? Ă mesure que le niveau de la mer monte ou que les taux dâapport de sĂ©diments diminuent, une Ăźle-barriĂšre rĂ©agira en 1 migration vers la terre Ă travers le substrat sous-jacent vers des altitudes plus Ă©levĂ©es2 se dĂ©sintĂ©grer sâil nây a plus suffisamment de volume de sable et de relief au-dessus du niveau de la mer pour empĂȘcher les inondations pendant les tempĂȘtes, ou 3 se noyer sur place et⊠Quâarrive-t-il aux Ăźles-barriĂšres ? Les Ăźles-barriĂšres de la Louisiane sont Ă©roder si rapidement que, selon certaines estimations, ils disparaĂźtront dâici la fin de ce siĂšcle. Bien quâil y ait peu dâhabitations humaines sur ces Ăźles, leur Ă©rosion peut avoir un impact sĂ©vĂšre sur lâenvironnement Ă lâintĂ©rieur des barriĂšres. Miami a-t-elle Ă©tĂ© construite sur un marĂ©cage ? Bien avant quâil nâabrite des immeubles Art DĂ©co, des clubs de danse et des immeubles en copropriĂ©tĂ© de luxe, Miami Beach Ă©tait une mangrove. ⊠En 1915, lâun des frĂšres, John Newton, devient le premier maire de Miami Beach. Finalement, les deux frĂšres ont Ă©tĂ© honorĂ©s avec un parc en bord de mer photo ci-dessus dĂ©diĂ© Ă leur nom. Pourquoi Miami Beach est-elle si cĂ©lĂšbre ? Miami Beach offre une variĂ©tĂ© qui va bien au-delĂ du soleil et du sable, englobant le mondevie nocturne cĂ©lĂšbre et des galeries dâart de renommĂ©e mondiale, des hĂŽtels de premiĂšre classe et des restaurants incomparables, des boutiques de crĂ©ateurs et un style architectural unique qui en font lâune des rĂ©gions les plus visuellement distinctives du monde. Est-ce que Miami est construit sur lâeau ? Miami-Dade est construit sur lâaquifĂšre de Biscayne4 000 milles carrĂ©s de calcaire inhabituellement peu profond et poreux dont les minuscules poches dâair sont remplies dâeau de pluie et de riviĂšres allant du marais Ă lâocĂ©an. Quelle est la diffĂ©rence entre une Ăźle de la mer et une Ăźle-barriĂšre ? Ces Ă©cosystĂšmes de marais salĂ©s agissent Ă©galement comme des filtres, purifiant les eaux de ruissellement des voies navigables intĂ©rieures. Contrairement aux Ăźles maritimes intĂ©rieures plus stables, les Ăźles-barriĂšres, qui bordent lâocĂ©an,sont dynamiques; leur terrain est en constante Ă©volution. Pourquoi Myrtle Beach sâappelle-t-elle Dirty Myrtle ? En tant que lâune des plus belles plages dâAmĂ©rique, Myrtle Beach attire tout le monde et tout. La rĂ©gion a un surnom, âDirty Myrtleâ qui fait rĂ©fĂ©rence Ă nâimporte quoi entre un type de boisson et une course de boue. ⊠Au cours des derniĂšres annĂ©es, les plages les plus populaires de la rĂ©gion ont connu une augmentation des niveaux de bactĂ©ries. Quelle est la plus grande Ăźle-barriĂšre ? Ăle du PĂšre est la plus grande des Ăźles-barriĂšres du Texas et la plus longue Ăźle-barriĂšre du monde.âŠLâĂźle Padre. Ăle du PĂšre carte, montrant les eaux de Laguna Madre enfermĂ©es le long de la cĂŽte sud du Texas. GĂ©ographie Emplacement Golfe du Mexique A qui appartient lâĂźle de Nantucket ? Nantucket est devenue une Ăźle lorsque lâĂ©lĂ©vation du niveau de la mer a recouvert la connexion avec le continent, il y a environ 5 000 Ă 6 000 ans. LâĂźle entiĂšre, ainsi que les Ăźles voisines de Tuckernuck et Muskeget, comprennent la ville et le comtĂ© de Nantucket, qui est exploitĂ© comme un gouvernement consolidĂ© de la ville et du comtĂ©. Pourquoi Nantucket est-il cĂ©lĂšbre ? Nantucket est connu pour pĂȘche Ă la baleinepĂ©toncles de la baie de Nantucket, temps brumeux, phares trois dâentre eux !, Main Street, Cisco Brewers, pĂȘche fantastique, vacances emblĂ©matiques comme Nantucket Stroll et le Daffodil Festival et la Rainbow Fleet. A qui appartiennent les Ăźles Elisabeth ? Les Ăźles La majoritĂ© des Ăźles Elizabeth sont la propriĂ©tĂ© privĂ©e de la famille Forbes de Boston, une famille riche et influente qui a fait fortune grĂące aux chemins de fer et au commerce international. Deux des Ăźles Elizabeth, Cuttyhunk et Penikese, sont ouvertes au public pour le tourisme. Galveston est-il une Ăźle-barriĂšre ? Bouton Retour en haut Navigation de lâarticlegJcPDx.